Léopoldine Settama-Vidon met fin au suspens. Après plusieurs mois de réflexion, l'avocate et conseillère régionale a officialisé ce mercredi à Champ-Borne sa candidature pour les futures municipales à Saint-André, sous la bannière "Saint-André 2020 nout' tout'ensemble". Entourée de deux de ses co-listiers, la candidate, sans-étiquette pour ce scrutin, souhaite offrir "un vrai changement pour le seul bien-être de la population".
L'ambition pour Léopoldine Settama-Vidon et son équipe: "réunir le maximum de Saint-Andréennes et de Saint-Andréens issus d'horizons politiques divers pour répondre aux besoins de la population et faire de Saint-André une ville où il fait bon vivre".
Pari réussi pour l'ex-candidate aux législatives dans la circonscription (elle avait récolté 15,92% des voix juste derrière Jean-Hugues Ratenon et Daniel Gonthier) qui se lance pour la première fois dans la bataille des municipales. Elle pourra compter sur sa liste des soutiens de Mike Sihou et Alain Didelot, issus respectivement des rangs d'Agir 974 et du PS. Des discussions sont toujours en cours avec d'autres candidat(e)s ou partis pour faire liste commune ou pas.
"Je ne suis pas une candidate En Marche !"
"Nous avons une liste sans-étiquette", assure l'avocate, qui souhaite par ailleurs couper court aux rumeurs qui verraient en elle une candidate LaREM pour ces élections. Pour rappel, l'ex-bâtonnière est toujours adhérente du parti présidentiel, mais n'a pas demandé l'investiture pour ce scrutin. "Je tiens à le préciser je ne suis pas une candidate En Marche !, il y en a déjà un référent à Saint-André en la personne de Farid Mangrolia, qui a eu le temps de préciser la préférence de son parti", explique-t-elle. "Notre préoccupation principale ce n'est pas la couleur politique, mais les préoccupations de la population", ajoute Léopoldine Settama, qui appelle les autres candidat(e)s à la "bienveillance et au respect de chacun" lors de cette campagne électorale.
Ce sont les remontées des personnes rencontrées sur le terrain qui ont poussé la présidente de la Ligue contre le cancer à briguer le fauteuil de maire en mars prochain. "Les Saint-Andréens ont été nombreux à me faire part de leur sentiment d'insécurité, mais aussi du peu de projets mis en place pour changer leur quotidien. Les gens ne se reconnaissent plus et pourtant ils aiment Saint-André", explique Léopoldine Settama-Vidon. "
Si ce mal-être n'a pas été traité jusque là, c'est que nous avons la possibilité aujourd'hui, non pas avec une baguette magique et tout régler, non, mais aller à la rencontre de la population pour co-construire un projet par et pour les Saint-Andréenes et Saint-Andréens", clame la conseillère régionale.
L'ambition pour Léopoldine Settama-Vidon et son équipe: "réunir le maximum de Saint-Andréennes et de Saint-Andréens issus d'horizons politiques divers pour répondre aux besoins de la population et faire de Saint-André une ville où il fait bon vivre".
Pari réussi pour l'ex-candidate aux législatives dans la circonscription (elle avait récolté 15,92% des voix juste derrière Jean-Hugues Ratenon et Daniel Gonthier) qui se lance pour la première fois dans la bataille des municipales. Elle pourra compter sur sa liste des soutiens de Mike Sihou et Alain Didelot, issus respectivement des rangs d'Agir 974 et du PS. Des discussions sont toujours en cours avec d'autres candidat(e)s ou partis pour faire liste commune ou pas.
"Je ne suis pas une candidate En Marche !"
"Nous avons une liste sans-étiquette", assure l'avocate, qui souhaite par ailleurs couper court aux rumeurs qui verraient en elle une candidate LaREM pour ces élections. Pour rappel, l'ex-bâtonnière est toujours adhérente du parti présidentiel, mais n'a pas demandé l'investiture pour ce scrutin. "Je tiens à le préciser je ne suis pas une candidate En Marche !, il y en a déjà un référent à Saint-André en la personne de Farid Mangrolia, qui a eu le temps de préciser la préférence de son parti", explique-t-elle. "Notre préoccupation principale ce n'est pas la couleur politique, mais les préoccupations de la population", ajoute Léopoldine Settama, qui appelle les autres candidat(e)s à la "bienveillance et au respect de chacun" lors de cette campagne électorale.
Ce sont les remontées des personnes rencontrées sur le terrain qui ont poussé la présidente de la Ligue contre le cancer à briguer le fauteuil de maire en mars prochain. "Les Saint-Andréens ont été nombreux à me faire part de leur sentiment d'insécurité, mais aussi du peu de projets mis en place pour changer leur quotidien. Les gens ne se reconnaissent plus et pourtant ils aiment Saint-André", explique Léopoldine Settama-Vidon. "
Si ce mal-être n'a pas été traité jusque là, c'est que nous avons la possibilité aujourd'hui, non pas avec une baguette magique et tout régler, non, mais aller à la rencontre de la population pour co-construire un projet par et pour les Saint-Andréenes et Saint-Andréens", clame la conseillère régionale.