Les faits, déroulés en août 2016, ont été jugés ce vendredi au tribunal de Champ-Fleuri.
Une jeune femme handicapée avait légèrement sombré dans l'alcool après une peine amoureuse. Alors qu'elle rate le bus qu'elle attendait, elle voit un homme, non inconnu, qui lui propose de la ramener chez lui.
Suivi par un autre dalon, l'homme en question invite la jeune femme à s'installer dans sa chambre. C'est là que tout bascule. Celui qu'elle pensait être son ami le force ainsi à coucher avec lui. Récupérée en état de choc, elle déclare qu'elle avait confiance en lui.
L'homme en question avoue à la barre que la jeune femme s'était débattue. Mais si les deux se connaissaient, c'est car ce dernier est également atteint d'un léger handicap et est placé sous curatelle renforcée. Ils avaient fréquenté le même établissement spécialisé.
Malgré ces faits connus depuis sa naissance, l'expert psychiatre déclare que le trentenaire était conscient de ses actes à ce moment-là. Il souligne que ce dernier vit dans un appartement seul au quotidien et entretient même une relation amoureuse.
L'agresseur sexuel écope donc de quatre ans de prison, sans mandat de dépôt. Son nom est désormais également inscrit parmi les auteurs d'infractions sexuelles.
Une jeune femme handicapée avait légèrement sombré dans l'alcool après une peine amoureuse. Alors qu'elle rate le bus qu'elle attendait, elle voit un homme, non inconnu, qui lui propose de la ramener chez lui.
Suivi par un autre dalon, l'homme en question invite la jeune femme à s'installer dans sa chambre. C'est là que tout bascule. Celui qu'elle pensait être son ami le force ainsi à coucher avec lui. Récupérée en état de choc, elle déclare qu'elle avait confiance en lui.
L'homme en question avoue à la barre que la jeune femme s'était débattue. Mais si les deux se connaissaient, c'est car ce dernier est également atteint d'un léger handicap et est placé sous curatelle renforcée. Ils avaient fréquenté le même établissement spécialisé.
Malgré ces faits connus depuis sa naissance, l'expert psychiatre déclare que le trentenaire était conscient de ses actes à ce moment-là. Il souligne que ce dernier vit dans un appartement seul au quotidien et entretient même une relation amoureuse.
L'agresseur sexuel écope donc de quatre ans de prison, sans mandat de dépôt. Son nom est désormais également inscrit parmi les auteurs d'infractions sexuelles.