Le ministre de l’Éducation nationale, invité de BFMTV ce jeudi, a réagi au phénomène Squid Game qui prend de l’ampleur au sein des établissements scolaires.
Jeux d'enfants, jeux de massacre
La série sud-coréenne, diffusée sur Netflix depuis le 17 septembre dernier, fait un carton. Une dystopie où 456 personnes vivant dans la précarité sont recrutées pour participer à un jeu de survie. Le gagnant remporte 45,6 milliards de won, soit environ 32 millions d'euros.
La série, interdite aux moins de 16 ans, reprend des jeux de cours d’écoles, et commence avec un 1,2,3 soleil mortel. Ici, ceux qui bougent sont littéralement éliminés par arme à feu. Les épreuves de “Squid Game” sont rejouées par certains élèves, avec la violence, ce qui inquiète les parents et équipes pédagogiques.
Appel à la vigilance
Le ministre de l’Éducation nationale s’est exprimé au sujet de ce phénomène, déclarant : "Les jeux dangereux m’inquiètent". Pour l’heure, Jean-Michel Blanquer affirme que le phénomène n’aurait pas pris "trop d’ampleur" en France, mais appelle à la "vigilance de tous".
Plus généralement, il met en garde les parents sur le temps passé par les enfants devant les écrans : "Ne laissez pas vos enfants trop longtemps devant les écrans", demande-t-il.
Jeux d'enfants, jeux de massacre
La série sud-coréenne, diffusée sur Netflix depuis le 17 septembre dernier, fait un carton. Une dystopie où 456 personnes vivant dans la précarité sont recrutées pour participer à un jeu de survie. Le gagnant remporte 45,6 milliards de won, soit environ 32 millions d'euros.
La série, interdite aux moins de 16 ans, reprend des jeux de cours d’écoles, et commence avec un 1,2,3 soleil mortel. Ici, ceux qui bougent sont littéralement éliminés par arme à feu. Les épreuves de “Squid Game” sont rejouées par certains élèves, avec la violence, ce qui inquiète les parents et équipes pédagogiques.
Appel à la vigilance
Le ministre de l’Éducation nationale s’est exprimé au sujet de ce phénomène, déclarant : "Les jeux dangereux m’inquiètent". Pour l’heure, Jean-Michel Blanquer affirme que le phénomène n’aurait pas pris "trop d’ampleur" en France, mais appelle à la "vigilance de tous".
Plus généralement, il met en garde les parents sur le temps passé par les enfants devant les écrans : "Ne laissez pas vos enfants trop longtemps devant les écrans", demande-t-il.