17h30 : La mairie de Saint-Paul qu'à partir de ce soir les familles qui resteraient dans les bungalows du Village Corail de l'Ermitage devront régler elles-mêmes leurs nuitées, soit 84 euros plus leurs deux repas, soit 25 euros. Le problème lui, reste entier : des familes ont réservé leur bungalow pour les vacances scolaires de mai. L'expulsion resterait donc toujours à l'ordre du jour. Affaire à suivre.
16h45 : Une bonne nouvelle est venue agrémenter l'après-midi des jeunes mères de famille qui restent "toutes solidaires" selon sa porte-parole Lydie Louise et également soeur de l'une d'elles. En effet, peu après 16h30, un message de la mairie est parvenu auprès des logés du VVF. Un cas supplémentaire semble avoir été réglé selon Dominique Romély, le président de l'association pour le développement pour Saint-Paul qui soutient les jeunes mères désormais les plus connues de la Réunion. Un logement pérenne aurait été trouvé à la Possession pour cette personne. Déjà, malgré le conflit qui perdure, le cas de 4 d'entre elles semble désormais acquis. Deux seraient logées du côté du Port, une troisième à Plateau Caillou. Pourtant, un doute subsiste : le logement d'une des mères du côté de Saint-Pierre que celle-ci refuse à cause de la distance. A 17h15, les gendarmes pourtant toujours en poste devant le VVF n'ont toujours pas appliqué l'avis d'expulsion qui aurait dû être respecté à midi pile.
14h30 : L'expulsion des familles n'a toujours pas eu lieu, elles sont actuellement devant leurs bungalows malgré la signification par la police de leur expulsion. Depuis une heure de temps, trois gendarmes discutent avec la direction du VVF. La force n'a pas été employée pour le moment, sans doute pour tenter de calmer le jeu
13h : Trois policiers municipaux sont arrivés au VVF pour signifier aux familles de quitter les lieux. Depuis 13h, les forces de l'ordre discutent avec les familles qui refusent pour le moment de s'en aller. "On nous demande de quitter les bungalows parce que la mairie nous a trouvé une solution. Mais où va-t-on aller?", s'insurge une dame.
Les familles demandent la présence d'Huguette Bello, maire de Saint-Paul, ou de Jean-Marc Gamarus, le premier adjoint. Un représentant de la mairie est intervenu pour expliquer que le protocole prévoit que les personnes ne restent pas à la rue, et que leur départ du VVF est assimilé à un autre centre d'hébergement provisoire. Il a rappelé que 5.000 personnes sont dans cette situation et que tous doivent être logés à la même enseigne.
Un fourgon de la gendarmerie est arrivé sur les lieux.
16h45 : Une bonne nouvelle est venue agrémenter l'après-midi des jeunes mères de famille qui restent "toutes solidaires" selon sa porte-parole Lydie Louise et également soeur de l'une d'elles. En effet, peu après 16h30, un message de la mairie est parvenu auprès des logés du VVF. Un cas supplémentaire semble avoir été réglé selon Dominique Romély, le président de l'association pour le développement pour Saint-Paul qui soutient les jeunes mères désormais les plus connues de la Réunion. Un logement pérenne aurait été trouvé à la Possession pour cette personne. Déjà, malgré le conflit qui perdure, le cas de 4 d'entre elles semble désormais acquis. Deux seraient logées du côté du Port, une troisième à Plateau Caillou. Pourtant, un doute subsiste : le logement d'une des mères du côté de Saint-Pierre que celle-ci refuse à cause de la distance. A 17h15, les gendarmes pourtant toujours en poste devant le VVF n'ont toujours pas appliqué l'avis d'expulsion qui aurait dû être respecté à midi pile.
14h30 : L'expulsion des familles n'a toujours pas eu lieu, elles sont actuellement devant leurs bungalows malgré la signification par la police de leur expulsion. Depuis une heure de temps, trois gendarmes discutent avec la direction du VVF. La force n'a pas été employée pour le moment, sans doute pour tenter de calmer le jeu
13h : Trois policiers municipaux sont arrivés au VVF pour signifier aux familles de quitter les lieux. Depuis 13h, les forces de l'ordre discutent avec les familles qui refusent pour le moment de s'en aller. "On nous demande de quitter les bungalows parce que la mairie nous a trouvé une solution. Mais où va-t-on aller?", s'insurge une dame.
Les familles demandent la présence d'Huguette Bello, maire de Saint-Paul, ou de Jean-Marc Gamarus, le premier adjoint. Un représentant de la mairie est intervenu pour expliquer que le protocole prévoit que les personnes ne restent pas à la rue, et que leur départ du VVF est assimilé à un autre centre d'hébergement provisoire. Il a rappelé que 5.000 personnes sont dans cette situation et que tous doivent être logés à la même enseigne.
Un fourgon de la gendarmerie est arrivé sur les lieux.

