C’est en superposant deux plans de la ville de Saint-Denis, l’un qui date de 1806 et l’autre contemporain, que la découverte d’un cimetière d’esclave a été mise à jour, explique dans son édition du jour Le Quotidien.
Aux abords de la Caserne Lambert de Saint-Denis, se trouverait donc un cimetière parmi les plus anciens du chef-lieu. Construit en observant une séparation entre les milliers de sépultures « blanches » et « noires », le vestige de l’histoire réunionnaise aura sans doute de nombreux secrets à délivrer aux chercheurs.
L’année prochaine, à la suite de sondages, des fouilles archéologiques préventives pourraient permettre d’en savoir plus.