
Le 12 juillet dernier, au petit matin, après une nuit de fête sous le signe de l'alcool et de la drogue, ce jeune pénètre l'enceinte d'une demeure familiale, et se met au volant de la voiture garée dans l'allée. Alerté par le bruit, le père de famille sort de la maison et tombe nez à nez avec le jeune, au volant, moteur allumé.
Le jeune homme demande au propriétaire d'ouvrir le portail, affirmant être au volant de sa propre voiture. C'est alors que le père de famille appelle son fils à la rescousse, le jeune prend la fuite, apeuré. Hier à la barre, le père reconnaissait que le prévenu était clairement dans un état second, et ne demandait pas de dommages et intérêts, rapporte le Quotidien en ses colonnes.
De son côté, le jeune assure ne pas comprendre comment il est arrivé sur les lieux et ne se souvenir de rien, pour cause : il était sous ecstasy, une puissante drogue de synthèse. Des explications qui n'ont pas convaincu le tribunal, le jeune homme ayant déjà été condamné pour tentative de vol et conduite en état d'ébriété. Le jeune homme, qui vient de signer un contrat de travail et qui doit s'occuper de son jeune fils, est néanmoins condamné à 12 mois de prison, et son sursis de 12 mois est révoqué. Il devra de plus repasser le permis lorsqu'il retrouvera la liberté.
Le jeune homme demande au propriétaire d'ouvrir le portail, affirmant être au volant de sa propre voiture. C'est alors que le père de famille appelle son fils à la rescousse, le jeune prend la fuite, apeuré. Hier à la barre, le père reconnaissait que le prévenu était clairement dans un état second, et ne demandait pas de dommages et intérêts, rapporte le Quotidien en ses colonnes.
De son côté, le jeune assure ne pas comprendre comment il est arrivé sur les lieux et ne se souvenir de rien, pour cause : il était sous ecstasy, une puissante drogue de synthèse. Des explications qui n'ont pas convaincu le tribunal, le jeune homme ayant déjà été condamné pour tentative de vol et conduite en état d'ébriété. Le jeune homme, qui vient de signer un contrat de travail et qui doit s'occuper de son jeune fils, est néanmoins condamné à 12 mois de prison, et son sursis de 12 mois est révoqué. Il devra de plus repasser le permis lorsqu'il retrouvera la liberté.