Tout comme François Fillon, Marine Le Pen est mise en cause dans une affaire d'emplois présumés fictifs.
Le présidente du Front national a reçu deux lettres de recouvrement de la part du Parlement européen, qui lui demande de rembourser la somme totale de 340.000 euros pour deux emplois de ses collaborateurs. Motif : ceux-ci n'auraient en réalité travaillé que pour son parti en France.
Pour la plus grosse partie de la somme (les 300.000 euros correspondant à l'emploi de son assistante Catherine Griset), Marine Le Pen doit commencer à payer dès le 1er février. L'autre partie (correspondant à l'emploi de son autre assistant et garde du corps Thierry Légier) devra être remboursée ultérieurement. En l'absence de remboursement dans les délais requis, Marine Le Pen pourrait se voir retirer 50% de son salaire d'eurodéputée.
Son avocat avait dénoncé fin octobre une "manoeuvre" pour "gêner l'action de Marine Le Pen au Parlement européen". A ce jour, cette dernière n'a fourni aucune preuve démontrant que ces emplois n'étaient pas fictifs.
Pour rappel, le pôle financier du parquet de Paris avait ouvert mi-décembre une information judiciaire sur ce dossier, faisant suite à une enquête conduite depuis mars 2015.
Dans une déclaration effectuée mardi, Marine Le Pen a affirmé qu'elle n'avait pas l'intention de rembourser les 340.000€...
Le présidente du Front national a reçu deux lettres de recouvrement de la part du Parlement européen, qui lui demande de rembourser la somme totale de 340.000 euros pour deux emplois de ses collaborateurs. Motif : ceux-ci n'auraient en réalité travaillé que pour son parti en France.
Pour la plus grosse partie de la somme (les 300.000 euros correspondant à l'emploi de son assistante Catherine Griset), Marine Le Pen doit commencer à payer dès le 1er février. L'autre partie (correspondant à l'emploi de son autre assistant et garde du corps Thierry Légier) devra être remboursée ultérieurement.
Son avocat avait dénoncé fin octobre une "manoeuvre" pour "gêner l'action de Marine Le Pen au Parlement européen". A ce jour, cette dernière n'a fourni aucune preuve démontrant que ces emplois n'étaient pas fictifs.
Pour rappel, le pôle financier du parquet de Paris avait ouvert mi-décembre une information judiciaire sur ce dossier, faisant suite à une enquête conduite depuis mars 2015.
Dans une déclaration effectuée mardi, Marine Le Pen a affirmé qu'elle n'avait pas l'intention de rembourser les 340.000€...