
Sandra Sinimalé n'en a pas fini avec la justice. Alors que le 27 avril 2021 elle était condamnée en appel à une peine de 10 ans d’inéligibilité et 3 ans de prison, dont 2 avec sursis, ainsi qu'à 20 000 euros d’amende pour prise illégale d'intérêts dans l'affaire de l'embauche de son compagnon au sein de la mairie de Saint-Paul, c'est désormais au sujet de son poste de cadre au sein de la société publique locale Tamarun que l'ancienne élue municipale va devoir s'expliquer.
Sandra Sinimalé est soupçonnée d'avoir occupé un emploi fictif au sein de cette SPL, mandatée par la commune de Saint-Paul, qui a en charge la réalisation d'aménagements touristiques, d'embellissement et de nettoyage de la partie côtière de la station balnéaire.
Sandra Sinimalé est soupçonnée d'avoir occupé un emploi fictif au sein de cette SPL, mandatée par la commune de Saint-Paul, qui a en charge la réalisation d'aménagements touristiques, d'embellissement et de nettoyage de la partie côtière de la station balnéaire.
Le caractère concret du travail effectué par celle qui était engagée comme cadre au sein de cette structure pose question depuis qu'un signalement a été fait au parquet sur ses absences régulières au cours de l'année 2019 notamment.
A l'issue d'une enquête menée par les gendarmes de la Compagnie de Saint-Paul, la procureure de la République a décidé d'engager des poursuites à l'encontre de la quadragénaire qui, selon nos informations, sera prochainement convoquée devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis.
A l'issue d'une enquête menée par les gendarmes de la Compagnie de Saint-Paul, la procureure de la République a décidé d'engager des poursuites à l'encontre de la quadragénaire qui, selon nos informations, sera prochainement convoquée devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis.