Le futur "éco-technoport" de Bois-Rouge prend de plus en plus forme. Ce mardi, et à l'occasion de la venue de Jean-Pierre Mascarelli, président de la fondation Sophia Antipolis, la Cirest et la mairie de Saint-André, accompagnées par le Département et la Région, ont signé une convention de partenariat avec la technopole des Alpes-Maritimes, la première d'Europe.
Cette convention porte sur le développement de l'innovation, du numérique et de la recherche-développement, composantes du futur éco-technoport de la région Est.
La signature de ce partenariat permettra à la micro-région Est de bénéficier de l'expertise de la fondation Sophia Antipolis, référence mondiale en matière d'innovation, via notamment son réseau d'entreprises, pour accompagner la mise en place de la Technopole Est et du Technoport cher à Jean-Paul Virapoullé.
La convention est définie autour de deux grands axes. Au niveau local tout d'abord, en accompagnant la Cirest et ses partenaires afin de définir l'identité et l'organisation de l'écosystème de ces deux futurs équipements, la définition d'une stratégie de développement (road map) sur deux ans ou encore la mise en place des outils de développement et de gouvernance au niveau opérationnel.
Cette convention porte sur le développement de l'innovation, du numérique et de la recherche-développement, composantes du futur éco-technoport de la région Est.
La signature de ce partenariat permettra à la micro-région Est de bénéficier de l'expertise de la fondation Sophia Antipolis, référence mondiale en matière d'innovation, via notamment son réseau d'entreprises, pour accompagner la mise en place de la Technopole Est et du Technoport cher à Jean-Paul Virapoullé.
La convention est définie autour de deux grands axes. Au niveau local tout d'abord, en accompagnant la Cirest et ses partenaires afin de définir l'identité et l'organisation de l'écosystème de ces deux futurs équipements, la définition d'une stratégie de développement (road map) sur deux ans ou encore la mise en place des outils de développement et de gouvernance au niveau opérationnel.
Au niveau régional, cette convention vise aussi à faire de La Réunion la porte maritime de l'Europe dans l'océan Indien, grâce à ses atouts géo-économiques pour l'UE en tant que région ultra-périphérique (RUP). Pour la Cirest, cela passe par la mise en réseau avec l'écosystème de Sophia Antipolis, sans oublier des partenariats économiques dans plusieurs filières : plantes médicinales, eau douce de Sainte-Rose ou encore la valorisation de l'eau océanique profonde.
"Prolonger ici ce qui a été fait à Sophia Antipolis"
Comme l'explique Jean-Paul Virapoullé, président de la Cirest et maire de Saint-André, "au fur et à mesure des études (…) on a constaté que Bois-Rouge doit devenir un centre d'énergies renouvelables, un centre pour capter l'eau océanique…On est passé d'un technoport à un éco-technoport puisque nous allons avoir beaucoup d'innovations industrielles", assure JPV.
Présent à ses côtés, le président du conseil départemental, Cyrille Melchior, s'est également félicité de la signature de cette convention. "Quand Jean-Paul Virapoullé nous a proposé de nous associer au montage de ce grand projet dans l'Est, je lui ai dit que le Département avait le devoir d'être présent. La Réunion est une terre de projets et nous sommes toujours à l'affût de tout projet capable d'apporter des solutions. Le Département est intéressé par ces filières innovantes qui peuvent apporter de l'emploi et créer de la richesse", explique le président de la collectivité départementale.
"Nous allons prolonger ici ce qui a été fait à Sophia Antipolis", ajoute pour sa part Didier Robert, qui voit dans la convention signée avec la technopole des Alpes-Maritimes "une brique de plus posée dans le cadre du développement économique de La Réunion". "Saint-André est en train de s'imposer comme étant le pôle principal de formation dans le digital et le numérique dans l'île. Cela permet d'avoir une vraie démarche équilibrée du territoire. Je le répète, il n'y aura pas de développement économique aboutit à La Réunion sans un équilibre entre les cinq micro-régions. C'est donc naturellement que nous sommes dans cette logique là avec un soutien similaire que nous accordons aux projets d'Ecocité dans l'ouest ou au développement des zones d'activités à Pierrefonds", avance le président de Région.
"Prolonger ici ce qui a été fait à Sophia Antipolis"
Comme l'explique Jean-Paul Virapoullé, président de la Cirest et maire de Saint-André, "au fur et à mesure des études (…) on a constaté que Bois-Rouge doit devenir un centre d'énergies renouvelables, un centre pour capter l'eau océanique…On est passé d'un technoport à un éco-technoport puisque nous allons avoir beaucoup d'innovations industrielles", assure JPV.
Présent à ses côtés, le président du conseil départemental, Cyrille Melchior, s'est également félicité de la signature de cette convention. "Quand Jean-Paul Virapoullé nous a proposé de nous associer au montage de ce grand projet dans l'Est, je lui ai dit que le Département avait le devoir d'être présent. La Réunion est une terre de projets et nous sommes toujours à l'affût de tout projet capable d'apporter des solutions. Le Département est intéressé par ces filières innovantes qui peuvent apporter de l'emploi et créer de la richesse", explique le président de la collectivité départementale.
"Nous allons prolonger ici ce qui a été fait à Sophia Antipolis", ajoute pour sa part Didier Robert, qui voit dans la convention signée avec la technopole des Alpes-Maritimes "une brique de plus posée dans le cadre du développement économique de La Réunion". "Saint-André est en train de s'imposer comme étant le pôle principal de formation dans le digital et le numérique dans l'île. Cela permet d'avoir une vraie démarche équilibrée du territoire. Je le répète, il n'y aura pas de développement économique aboutit à La Réunion sans un équilibre entre les cinq micro-régions. C'est donc naturellement que nous sommes dans cette logique là avec un soutien similaire que nous accordons aux projets d'Ecocité dans l'ouest ou au développement des zones d'activités à Pierrefonds", avance le président de Région.