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Son cacatoès, Tagada, s’est envolé avant d’être… volé

Gonael est le propriétaire d’une femelle Cacatoès appelée Tagada. L’animal qui a disparu depuis une semaine sur le secteur de Saint-Leu aurait été retrouvé, puis récupéré par une personne malveillante qui tenterait de le vendre. Une plainte a été déposée.

Ecrit par SF – le mercredi 19 avril 2023 à 05H11

Tagada, la femelle Cacatoès rosalbin de Gonaël et sa compagne, s’est échappée du domicile du couple dans le secteur de la Fontaine à Saint-Leu samedi 8 avril.

“Tagada était chez nous depuis quatre mois. (…) On s’est privés plusieurs mois pour l’acheter. On y est très attaché,. Elle m’appelle papa, me fait des bisous. (…) C’est comme notre fille, elle était en liberté quasiment tout le temps et a dû s’enfuir par peur d’un chien ou d’un chat à l’extérieur”, écrit le propriétaire.

Depuis sa disparition, le propriétaire de l’animal n’a eu de cesse de multiplier les annonces de disparition de l’oiseau et les appels à la vigilance dans sa ville et sur les réseaux, promettant une belle récompense à celui ou celle qui la retrouverait

Samedi dernier, le couple reçoit un appel d’une dame qui dit l’avoir aperçu au petit port de Saint-Leu, puis apprend qu’un homme a récupéré l’oiseau en mer, à proximité de la poste de Saint-Leu, affaibli.

Gonael et sa compagne auraient dû être ravis de pouvoir enfin revoir Tagada mais les choses ne se sont pas passées comme prévu. 

L’homme qui a récupéré l’oiseau leur explique qu’une personne s’est présentée à lui en tant que propriétaire de Tagada et lui aurait offert 300 euros en récompense pour son oiseau. Gonael déplore ce vol mais ne perd pas espoir.

“Hier, durant nos recherches, un homme nous a dit qu’un jeune s’était arrêté près de lui et lui aurait proposé d’acheter l’oiseau. Quelqu’un aurait déjà acheté Tagada et chercherait à son tour à la revendre”, regrette-t-il.

L’oiseau est bagué et son propriétaire craint que les personnes mal intentionnées puissent, faute de parvenir à la vendre, la laisser mourir ou de tenter de lui enlever la bague d’identification de force, en lui coupant la patte. Une plainte a été déposée.

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