
J. Sinimalé et D. Pausé étaient hier soir les deux seuls maires de l'ouest présents au conseil du TCO
Les murs de l'hôtel de ville en ont tremblé. Au cours d'un conseil communautaire du TCO exceptionnellement délocalisé en mairie de Saint-Paul, Joseph Sinimalé a signé la fin de la récréation avec son opposant Emmanuel Séraphin.
C'est l'affaire numéro 4 de l'assemblée communautaire qui aura fait sortir Joseph Sinimalé de ses gonds.
Dans un air de déjà vu en conseil municipal, Emmanuel Séraphin (PLR) a pris la parole pour réclamer la justification de l'augmentation de la prise en charge des frais de mission des élus communautaires en métropole. Des frais qui couvrent l'hébergement en hôtel et la restauration des conseillers en déplacement pour des séminaires ou des formations.
Une augmentation que l'opposition a vite fait de rapprocher de celle de l'indemnité de maire et de président du TCO que Joseph Sinimalé s'était octroyé dès son retour aux affaires.
Une nouvelle remarque de l'opposant le plus tranchant que Joseph Sinimalé n'a cette fois pas laissé passer. "A chaque fois, vous revenez sur mes indemnités. Je peux vous dire que je travaille comme vous. Vous êtes en train de me rabaisser. J'en ai assez que vous me traitiez de voleur ou profiteur ! Je ne suis pas venu en politique pour m'enrichir ! Joseph Sinimalé ne fait pas de politique pour s'enrichir !", s'est-il égosillé en brandissant sa feuille de traitement indemnitaire de président du TCO, soit 113 euros par mois.
Une réplique tonitruante qui a jeté un froid dans l'assemblée. Certains lieutenants de Joseph Sinimalé ont défendu cette revalorisation. C'est le cas de Marc-André Hoarau qui a fait remarquer que "20 euros d'augmentation, c'est moins que l'inflation" sur la période 2003-2014, période durant laquelle l'enveloppe de 121,96 euros d'indemnités n'avait pas été revalorisée.
Désormais, elle pourra atteindre les 140 euros. A charge pour les élus en mission à Paris ou en province de produire toutes les factures de leur voyage.
C'est l'affaire numéro 4 de l'assemblée communautaire qui aura fait sortir Joseph Sinimalé de ses gonds.
Dans un air de déjà vu en conseil municipal, Emmanuel Séraphin (PLR) a pris la parole pour réclamer la justification de l'augmentation de la prise en charge des frais de mission des élus communautaires en métropole. Des frais qui couvrent l'hébergement en hôtel et la restauration des conseillers en déplacement pour des séminaires ou des formations.
Une augmentation que l'opposition a vite fait de rapprocher de celle de l'indemnité de maire et de président du TCO que Joseph Sinimalé s'était octroyé dès son retour aux affaires.
Une nouvelle remarque de l'opposant le plus tranchant que Joseph Sinimalé n'a cette fois pas laissé passer. "A chaque fois, vous revenez sur mes indemnités. Je peux vous dire que je travaille comme vous. Vous êtes en train de me rabaisser. J'en ai assez que vous me traitiez de voleur ou profiteur ! Je ne suis pas venu en politique pour m'enrichir ! Joseph Sinimalé ne fait pas de politique pour s'enrichir !", s'est-il égosillé en brandissant sa feuille de traitement indemnitaire de président du TCO, soit 113 euros par mois.
Une réplique tonitruante qui a jeté un froid dans l'assemblée. Certains lieutenants de Joseph Sinimalé ont défendu cette revalorisation. C'est le cas de Marc-André Hoarau qui a fait remarquer que "20 euros d'augmentation, c'est moins que l'inflation" sur la période 2003-2014, période durant laquelle l'enveloppe de 121,96 euros d'indemnités n'avait pas été revalorisée.
Désormais, elle pourra atteindre les 140 euros. A charge pour les élus en mission à Paris ou en province de produire toutes les factures de leur voyage.