En février 2019, six jeunes gens de Saint-Denis se lancent dans une nuit de pure folie, sous l'effet de l'alcool, du zamal et du rivotril, les compères volent deux voitures et décident d'une virée dans le sud. Au petit matin, au Tampon, un jeune homme de 24 ans a le malheur de croiser leur route, il se fait aborder par le groupe dans une des voitures, qui lui demande deux euros. Pris de panique, le jeune homme se met à courir, lorsque la seconde voiture s'arrête à ses côtés, il pense que c'est pour l'aider, mais tombe dans un guet-apens: les coups commencent à pleuvoir.
La jeune victime sera trainée jusqu'à un premier distributeur d'argent, mais, sous le choc, impossible de se souvenir de son code, alors les coups tombent de plus belle. Finalement, à un second gabier, c'est en sang qu'il donne son code de carte bleue, les compères vident alors son compte: 170 euros, qu'ils se partageront. Le jeune homme est laissé au bord de la route à la Rivière Saint-Louis, il s'en sortira avec 15 jours d'ITT et un état de choc qui lui vaudra une dépression.
C'est la vidéo surveillance qui a permis de retrouver la trace de la bande qui répondait hier de cette ultra-violence. Les prévenus se sont rejeté la faute, chacun minimisant son rôle dans cette affaire digne d'Orange mécanique. Les peines de prison sont tombées, de un à six ans pour cinq d'entre eux, du sursis pour le dernier, rapporte ce matin la presse écrite.
La jeune victime sera trainée jusqu'à un premier distributeur d'argent, mais, sous le choc, impossible de se souvenir de son code, alors les coups tombent de plus belle. Finalement, à un second gabier, c'est en sang qu'il donne son code de carte bleue, les compères vident alors son compte: 170 euros, qu'ils se partageront. Le jeune homme est laissé au bord de la route à la Rivière Saint-Louis, il s'en sortira avec 15 jours d'ITT et un état de choc qui lui vaudra une dépression.
C'est la vidéo surveillance qui a permis de retrouver la trace de la bande qui répondait hier de cette ultra-violence. Les prévenus se sont rejeté la faute, chacun minimisant son rôle dans cette affaire digne d'Orange mécanique. Les peines de prison sont tombées, de un à six ans pour cinq d'entre eux, du sursis pour le dernier, rapporte ce matin la presse écrite.