Le conseil d’Administration de l’Arast a apporté son soutien hier à ses employés en grève depuis mercredi. L’engagement du Conseil général à maintenir les services, alors que les grévistes voulaient que la collectivité locale s’engage à sauver la structure, n’a pas apaisé les craintes des 1.258 salariés de l’Arast.
“Le conseil d’Administration de l’Arast a décidé d’accompagner le mouvement de grève initié mercredi par les salariés et l’intersyndicale. Il s’agit avant tout de montrer la cohésion et la cohérence qui existe au sein de notre structure, et aussi pour dire ensemble notre désarroi face à ce qui pourrait se passer le 28 septembre”, a expliqué Laurent Técher, président de l’Arast.
Pourtant, la structure aurait suivi la feuille de route “proposée” par le Département. “Nous savons dans quel cadre nous devions avancer. Car après les manifestations du mois d’avril, il était question que le Conseil général nous propose des solutions qui étaient le redressement judiciaire et un plan de restructuration avec la suppression de plusieurs dizaines d’emplois. C’est ce que nous avons fait”.
“Ce n’était qu’à partir de ce moment-là que le Conseil général renouerait le dialogue avec les dirigeants de l’Arast pour remettre en place les activités. Hors aujourd’hui, nous ne savons pas si l’Arast continuera ses missions, alors que l’audience du tribunal d’Instance est dans une douzaine de jours”, a regretté Laurent Técher
“Le conseil d’Administration de l’Arast a décidé d’accompagner le mouvement de grève initié mercredi par les salariés et l’intersyndicale. Il s’agit avant tout de montrer la cohésion et la cohérence qui existe au sein de notre structure, et aussi pour dire ensemble notre désarroi face à ce qui pourrait se passer le 28 septembre”, a expliqué Laurent Técher, président de l’Arast.
Pourtant, la structure aurait suivi la feuille de route “proposée” par le Département. “Nous savons dans quel cadre nous devions avancer. Car après les manifestations du mois d’avril, il était question que le Conseil général nous propose des solutions qui étaient le redressement judiciaire et un plan de restructuration avec la suppression de plusieurs dizaines d’emplois. C’est ce que nous avons fait”.
“Ce n’était qu’à partir de ce moment-là que le Conseil général renouerait le dialogue avec les dirigeants de l’Arast pour remettre en place les activités. Hors aujourd’hui, nous ne savons pas si l’Arast continuera ses missions, alors que l’audience du tribunal d’Instance est dans une douzaine de jours”, a regretté Laurent Técher