Une cinquantaine de personnes, syndicalistes et étudiants, se sont réunies ce mardi matin devant le Rectorat à Saint-Denis à l'appel de l'intersyndicale.
S’appuyant sur la mobilisation qui monte dans les lycées et les universités, les organisations FSU, SNESUP, CGTR-EDUCATION SECTION UNIVERSITÉ DE LA RÉUNION, UNION NATIONALE LYCÉENNE DE LA RÉUNION, UNEF RÉUNION, FNEC FPFO, SUD ÉDUCATION, SAIPER, SOLIDAIRES, souhaitent réaffirmer leurs revendications.
Au coeur des revendications, le "maintien du baccalauréat comme diplôme national et 1er grade universitaire, garantissant l’accès de toutes et tous les bachelier.e.s sur tout le territoire aux filières postbac et aux établissements de leur choix la sélection à l'université".
Les syndicats réclament notamment "l’ouverture massive de places supplémentaires en 1er cycle post-bac et refusent toute sélection à l’entrée de l’université".
"Le risque avec une sélection, c'est qu'aujourd'hui, la prochaine université, elle est à 10 000km. On ne peut pas avoir cette flexibilité de bouger et d'avoir la mobilité qu'on souhaiterait", explique Samantha Pothin, présidente de l'Unef Réunion.
Une rencontre avec le recteur de l'Académie et un représentant de l'université était prévue à 11 heures.
Soe Hitchon sur place
S’appuyant sur la mobilisation qui monte dans les lycées et les universités, les organisations FSU, SNESUP, CGTR-EDUCATION SECTION UNIVERSITÉ DE LA RÉUNION, UNION NATIONALE LYCÉENNE DE LA RÉUNION, UNEF RÉUNION, FNEC FPFO, SUD ÉDUCATION, SAIPER, SOLIDAIRES, souhaitent réaffirmer leurs revendications.
Au coeur des revendications, le "maintien du baccalauréat comme diplôme national et 1er grade universitaire, garantissant l’accès de toutes et tous les bachelier.e.s sur tout le territoire aux filières postbac et aux établissements de leur choix la sélection à l'université".
Les syndicats réclament notamment "l’ouverture massive de places supplémentaires en 1er cycle post-bac et refusent toute sélection à l’entrée de l’université".
"Le risque avec une sélection, c'est qu'aujourd'hui, la prochaine université, elle est à 10 000km. On ne peut pas avoir cette flexibilité de bouger et d'avoir la mobilité qu'on souhaiterait", explique Samantha Pothin, présidente de l'Unef Réunion.
Une rencontre avec le recteur de l'Académie et un représentant de l'université était prévue à 11 heures.
Soe Hitchon sur place