Ségolène Royal a annoncé ce matin dans les matinales de France Inter qu'elle ne prendra pas la tête de liste d'une liste de gauche rassemblée pour les européennes.
Elle sera même pas présente sur une liste en mai prochain.
C'était un secret de polichinelle qu'elle faisait des pieds et des mains depuis des semaines pour tenter de constituer une liste qui aurait pu aller du PS au PCF en passant bien évidemment par les écologistes et par Génération.s, le mouvement de Benoît Hamon.
"J'avais posé comme condition de pouvoir structurer et créer une convergence et un rassemblement des écologistes, de la gauche, des démocrates, de la société civile également. Ces conditions ne sont pas remplies puisqu'un certain nombre de partenaires ont refusé. Donc je reprends ma liberté de ne pas être candidate; mais je reste dans le jeu des européennes au sens où le travail que nous avons commencé à faire face aux défis qui sont devant nous: l'urgence climatique, l'urgence sociale, l'urgence démocratique, la montée des nationalismes. Voir qu'on n'est pas capable de s'unir au niveau de la gauche, des démocrates et des écologistes, c'est assez désolant", a déclaré l'ancienne candidate à la présidence de la République.
Elle sera même pas présente sur une liste en mai prochain.
C'était un secret de polichinelle qu'elle faisait des pieds et des mains depuis des semaines pour tenter de constituer une liste qui aurait pu aller du PS au PCF en passant bien évidemment par les écologistes et par Génération.s, le mouvement de Benoît Hamon.
"J'avais posé comme condition de pouvoir structurer et créer une convergence et un rassemblement des écologistes, de la gauche, des démocrates, de la société civile également. Ces conditions ne sont pas remplies puisqu'un certain nombre de partenaires ont refusé. Donc je reprends ma liberté de ne pas être candidate; mais je reste dans le jeu des européennes au sens où le travail que nous avons commencé à faire face aux défis qui sont devant nous: l'urgence climatique, l'urgence sociale, l'urgence démocratique, la montée des nationalismes. Voir qu'on n'est pas capable de s'unir au niveau de la gauche, des démocrates et des écologistes, c'est assez désolant", a déclaré l'ancienne candidate à la présidence de la République.