
©BFMTV
Ségolène Royal l'assure, ce n'est pas elle qui a pris la décision finale d'enterrer l'écotaxe, malgré son opposition ancienne au projet. La ministre de l'Écologie a même assuré sur le plateau de BFM Politique (BFMTV-RMC-Le Point) qu'elle "l'aurait subie".
Elle a rappelé qu'elle avait émis des doutes sur le dispositif écotaxe depuis plusieurs mois. "Je n'ai pas été écoutée avant l'été, à l'époque, où j'avais des doutes", affirme-t-elle, ajoutant qu'elle avait essayé "d'aménager un dispositif complexe". "Dès avril j'ai dit qu'il fallait remettre les choses sur la table [...] Mais les choses n'étaient pas aménageables".
Et puisque désormais les poids lourds ne paient plus l'écotaxe, ces derniers vont "bien évidemment payer la taxe sur le gazole", a poursuivi Ségolène Royal. Pour rappel, cette hausse sera de quatre centimes au litre.
Sur la sortie de Martine Aubry, Ségolène Royal s'est dite "pour la liberté de parole". En revanche, "dans une famille politique, ce qui est important, ce qui peut être utile, quand on a de bonnes idées, c'est peut-être de venir les donner à ceux qui sont en responsabilité", a poursuivi la ministre.
Interrogée sur le "statut à part" qu'elle aurait au gouvernement, Ségolène Royal "ne sait pas ce que ça veut dire", mais ajoute tout de même que son passé de candidate à l'élection présidentielle de 2007 explique le fait "qu'on lui attribue un statut à part".
Elle a rappelé qu'elle avait émis des doutes sur le dispositif écotaxe depuis plusieurs mois. "Je n'ai pas été écoutée avant l'été, à l'époque, où j'avais des doutes", affirme-t-elle, ajoutant qu'elle avait essayé "d'aménager un dispositif complexe". "Dès avril j'ai dit qu'il fallait remettre les choses sur la table [...] Mais les choses n'étaient pas aménageables".
Et puisque désormais les poids lourds ne paient plus l'écotaxe, ces derniers vont "bien évidemment payer la taxe sur le gazole", a poursuivi Ségolène Royal. Pour rappel, cette hausse sera de quatre centimes au litre.
Sur la sortie de Martine Aubry, Ségolène Royal s'est dite "pour la liberté de parole". En revanche, "dans une famille politique, ce qui est important, ce qui peut être utile, quand on a de bonnes idées, c'est peut-être de venir les donner à ceux qui sont en responsabilité", a poursuivi la ministre.
Interrogée sur le "statut à part" qu'elle aurait au gouvernement, Ségolène Royal "ne sait pas ce que ça veut dire", mais ajoute tout de même que son passé de candidate à l'élection présidentielle de 2007 explique le fait "qu'on lui attribue un statut à part".