
La Présidente du Conseil Général, Nassimah DINDAR a adressé ce jour un courrier à M. Eric BESSON, Ministre de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie Numérique ainsi qu’à la Ministre de l’Outre-mer, Mme Marie-Luce PENCHARD afin de les sensibiliser sur les conséquences du conflit social au sein de la Sechilienne-Sidec et d’EDF, qui affecte actuellement l’ensemble des départements d’Outre-mer. Ce conflit a des répercussions importantes sur les plans économique, sanitaire et social de l’île.
La Présidente du Conseil Général et une délégation de Conseillers Généraux ont reçu la semaine dernière une délégation de l’intersyndicale qui a fait part des revendications visant à une application de la loi pour les personnels concernés. Lors de cette rencontre, le Conseil Général a indiqué à l’intersyndicale qu’il accompagnerait leur démarche vis-à-vis de l’Etat pour qu’une issue à ce conflit soit rapidement trouvée. Lors de la rencontre qu’elle avait eu vendredi dernier avec Mme Penchard, Ministre de l’Outre Mer, la Présidente du Conseil Général avait déjà appelé son attention sur ce dossier.
Aussi, notre collectivité mesure pleinement les conséquences néfastes des actions de restriction d’électricité pour les acteurs économiques et les usagers de l’île.
Par cette lettre, la Présidente du Conseil Général invite le Gouvernement à prendre les dispositions appropriées en matière de garantie du service public de l’électricité et d’approvisionnement énergétique qui relève de sa compétence.
L’avis du rapporteur public du Conseil d’Etat du 7 avril justifie la nécessité de trouver une solution à l’amiable. En effet, le rejet de la requête de la Sechilienne Sidec et d’ EDF a été recommandé par le rapporteur public. Cette requête demande l’application de la loi reconnaissant aux travailleurs de l’énergie les conditions de rémunération des fonctionnaires en vertu d’un accord datant de 1972.
A la lumière de cet avis, la mobilisation de l’Etat s’avère plus que jamais nécessaire pour éviter que le conflit ne s’enlise. C’est pourquoi la Présidente du Conseil Général sollicite l’Etat, « afin d’organiser une médiation entre les différentes parties concernées au niveau national pour mettre un terme à ce conflit social », démarche qui reste aujourd’hui la seule probante pour aboutir à une sortie de crise.
La Présidente du Conseil Général et une délégation de Conseillers Généraux ont reçu la semaine dernière une délégation de l’intersyndicale qui a fait part des revendications visant à une application de la loi pour les personnels concernés. Lors de cette rencontre, le Conseil Général a indiqué à l’intersyndicale qu’il accompagnerait leur démarche vis-à-vis de l’Etat pour qu’une issue à ce conflit soit rapidement trouvée. Lors de la rencontre qu’elle avait eu vendredi dernier avec Mme Penchard, Ministre de l’Outre Mer, la Présidente du Conseil Général avait déjà appelé son attention sur ce dossier.
Aussi, notre collectivité mesure pleinement les conséquences néfastes des actions de restriction d’électricité pour les acteurs économiques et les usagers de l’île.
Par cette lettre, la Présidente du Conseil Général invite le Gouvernement à prendre les dispositions appropriées en matière de garantie du service public de l’électricité et d’approvisionnement énergétique qui relève de sa compétence.
L’avis du rapporteur public du Conseil d’Etat du 7 avril justifie la nécessité de trouver une solution à l’amiable. En effet, le rejet de la requête de la Sechilienne Sidec et d’ EDF a été recommandé par le rapporteur public. Cette requête demande l’application de la loi reconnaissant aux travailleurs de l’énergie les conditions de rémunération des fonctionnaires en vertu d’un accord datant de 1972.
A la lumière de cet avis, la mobilisation de l’Etat s’avère plus que jamais nécessaire pour éviter que le conflit ne s’enlise. C’est pourquoi la Présidente du Conseil Général sollicite l’Etat, « afin d’organiser une médiation entre les différentes parties concernées au niveau national pour mettre un terme à ce conflit social », démarche qui reste aujourd’hui la seule probante pour aboutir à une sortie de crise.