Jean-Yves Minatchy n'abandonne pas. La président de la CGPER a rappelé l'impact de la sécheresse sur les agriculteurs de l'île en prenant pour exemple les producteurs de fruits et légumes du Tampon qui "ne peuvent plus tenir le coup face au prix du mètre cube d'eau". Il explique que "le manque d'eau dans les retenues contraint les agriculteurs à utiliser l'eau potable pour irriguer les cultures". Cela représenterait un coût de 1,76 euros par m3 d'eau.
Trois épisodes successifs de sécheresse seraient trop pesants pour les planteurs et Jean-Yves Minatchy souligne également que les aides de l'État pour la sécheresse survenue l'année dernière sont toujours attendues. De même pour les communes et le Département qu'il dit interpeller depuis plus de 10 ans à ce sujet. Et pourtant la préfecture avait bien reconnu l'état de calamité agricole à la suite de la sécheresse de mai à novembre 2013.
Selon lui, la campagne sucrière sera catastrophique cette année.
Trois épisodes successifs de sécheresse seraient trop pesants pour les planteurs et Jean-Yves Minatchy souligne également que les aides de l'État pour la sécheresse survenue l'année dernière sont toujours attendues. De même pour les communes et le Département qu'il dit interpeller depuis plus de 10 ans à ce sujet. Et pourtant la préfecture avait bien reconnu l'état de calamité agricole à la suite de la sécheresse de mai à novembre 2013.
Selon lui, la campagne sucrière sera catastrophique cette année.