
Fini les opérations coup de poing, fini les sit-in à proximité des grandes enseignes, la délégation Sud du COSPAR a annoncé vers 18h30 qu'elle consacrera toute la journée de jeudi à une séance de travail sur les propositions qui ont résulté des négociations.
Après avoir relayé les premiers résultats des travaux réalisés par les membres de la commission de négociation du COSPAR à Saint-Denis, le représentant de l'UNSA, Romain Gilbert, a indiqué que le compte n'y était pas sur les prix mais aussi sur les salaires : "Le Medef a bien spécifié que sa participation à hauteur de 50 euros interviendrait en supplément de revenu (...) Il n'y a que 150 euros dans la cagnotte. Il y a encore des choses à faire passer. Une rencontre est d'ailleurs prévue entre le COSPAR et les président des deux collectivités. Il faut maintenir la pression et ne pas s'arrêter."
Pour autant, le représentant de l'UNSA comprend la réaction d'une partie des manifestants présents à l'entrée et à la sortie d'une grande surface de la Zac Canabady aujourd'hui : "Chacun joue son rôle (...). Nous ne sommes pas là pour dicter aux gens mais plutôt pour un cadrage. Les cris de ce matin étaient ceux du coeur... Mais nous allons faire en sorte que ces personnes aient bientôt une bouffée d'oxygène..."
Un prochain point devrait être réalisé par la délégation ce vendredi... Bien moins mobilisée ce matin, la population poursuivra t-elle la manifestation ? Réponse demain...
Après avoir relayé les premiers résultats des travaux réalisés par les membres de la commission de négociation du COSPAR à Saint-Denis, le représentant de l'UNSA, Romain Gilbert, a indiqué que le compte n'y était pas sur les prix mais aussi sur les salaires : "Le Medef a bien spécifié que sa participation à hauteur de 50 euros interviendrait en supplément de revenu (...) Il n'y a que 150 euros dans la cagnotte. Il y a encore des choses à faire passer. Une rencontre est d'ailleurs prévue entre le COSPAR et les président des deux collectivités. Il faut maintenir la pression et ne pas s'arrêter."
Pour autant, le représentant de l'UNSA comprend la réaction d'une partie des manifestants présents à l'entrée et à la sortie d'une grande surface de la Zac Canabady aujourd'hui : "Chacun joue son rôle (...). Nous ne sommes pas là pour dicter aux gens mais plutôt pour un cadrage. Les cris de ce matin étaient ceux du coeur... Mais nous allons faire en sorte que ces personnes aient bientôt une bouffée d'oxygène..."
Un prochain point devrait être réalisé par la délégation ce vendredi... Bien moins mobilisée ce matin, la population poursuivra t-elle la manifestation ? Réponse demain...