
Dans notre zone, nous avons le Safe, le Lion et le Lion 2 (Lower Indian Ocean Network). Trois câbles internet sous-marins dont les capacités respectives atteignent 130Gbps et 1,28 Tbps par seconde.
Dans un communiqué diffusé à la presse le 17 juillet, l'opérateur Orange a annoncé la construction d'un nouveau câble baptisé Sea-Me-We 5 à l'horizon 2016. Un projet rendu possible grâce à la signature d'un accord entre 12 partenaires et mené par l'opérateur singapourien SingTel.
Le câble de 20.000 km reliera l'Asie à l'Europe, tout en desservant Singapour, Indonésie, Malaisie, Birmanie, Bangladesh, Sri-Lanka, Inde, Pakistan, Oman, Emirats Arabes Unis, Yémen, Djibouti, Arabie Saoudite, Egypte, Italie et France. "Une sécurisation accrue et une réponse adaptée aux besoins croissants de transmission de trafic IP des clients d’Orange", précise l'opérateur historique.
"Une nouvelle artère vers l'océan Indien"
En fibre optique et conçu avec "la technologie très haut débit de 100 Gbps, le Sea-Me-We 5 offrira une capacité initiale de 24 Tbps et augmentera sa capacité en fonction de l’évolution des technologies", ajoute Orange. Un débit largement supérieur au Safe et Lion.
Quid de la zone océan Indien ? L'opérateur historique annonce que la mise en place de ce câble permettra d'accompagner la croissance haut-débit à la Réunion et Mayotte grâce à l’interconnexion sur Djibouti,
. "Une nouvelle artère vers l'océan Indien", indique Orange. Un plus pour nos deux îles qui peuvent être amenées à rencontrer des difficultés sur le câble Safe notamment.
Sa construction devrait s'achever à la fin 2016. Elle a été confiée à Alcatel-Lucent pour la partie entre la France et le Sri-Lanka. Et c'est le japonais NEC qui poursuivra sa construction vers Singapour.
Dans un communiqué diffusé à la presse le 17 juillet, l'opérateur Orange a annoncé la construction d'un nouveau câble baptisé Sea-Me-We 5 à l'horizon 2016. Un projet rendu possible grâce à la signature d'un accord entre 12 partenaires et mené par l'opérateur singapourien SingTel.
Le câble de 20.000 km reliera l'Asie à l'Europe, tout en desservant Singapour, Indonésie, Malaisie, Birmanie, Bangladesh, Sri-Lanka, Inde, Pakistan, Oman, Emirats Arabes Unis, Yémen, Djibouti, Arabie Saoudite, Egypte, Italie et France. "Une sécurisation accrue et une réponse adaptée aux besoins croissants de transmission de trafic IP des clients d’Orange", précise l'opérateur historique.
"Une nouvelle artère vers l'océan Indien"
En fibre optique et conçu avec "la technologie très haut débit de 100 Gbps, le Sea-Me-We 5 offrira une capacité initiale de 24 Tbps et augmentera sa capacité en fonction de l’évolution des technologies", ajoute Orange. Un débit largement supérieur au Safe et Lion.
Quid de la zone océan Indien ? L'opérateur historique annonce que la mise en place de ce câble permettra d'accompagner la croissance haut-débit à la Réunion et Mayotte grâce à l’interconnexion sur Djibouti,
. "Une nouvelle artère vers l'océan Indien", indique Orange. Un plus pour nos deux îles qui peuvent être amenées à rencontrer des difficultés sur le câble Safe notamment.
Sa construction devrait s'achever à la fin 2016. Elle a été confiée à Alcatel-Lucent pour la partie entre la France et le Sri-Lanka. Et c'est le japonais NEC qui poursuivra sa construction vers Singapour.