
C'est à 18h ce soir que doivent se retrouver, à l'amphi 1 de la faculté des lettres à Saint-Denis, les collectifs étudiants et enseignants mobilisés pour la défense de la filière des Sciences de l'éducation.
Autant d'éléments qui rendent difficile à saisir la décision de fermeture de la filière tant pour de nombreux étudiants et enseignants que de nombreux acteurs de la formation et du monde professionnel.
Un: Il règle des comptes post-électoraux, certains des enseignants des Sciences de l'éducation étant ses principaux opposants.
Deux :il remercie un ami en faisant revenir à l'Université un ex-enseignant des Sciences de l'éducation de la Réunion, en poste aujourd'hui à Nantes, Frederic Tupin, qui avait été l'artisan de sa prise de pouvoir au sein de leur syndicat le SNE-SUP, puis au sein de l'Université avec le ticket Svizzero-Rochdi dont on connait la suite.
Quant aux étudiants, ils se considèrent pris en otage au sein de l'Université. D'où leurs initiatives à la fois en direction des anciens des Sciences de l'éducation, mais aussi de l'opinion réunionnaise.
Réussiront-ils? Une partie de la réponse ce soir.
Les sciences de l'éducation existent actuellement aussi bien en formation initiale, à Saint-Denis, qu' en formation continue au Tampon. Cette filière propose plusieurs diplômes et elle est présente à l'Université depuis plus de 15 ans.
Elle est rapidement devenue la première filière en effectifs de la Faculté des lettres. Un engouement qui s'explique par les importantes perspectives qu'elle offre aux étudiants de formation initiale pour l'accès à l'emploi et pour les salariés venus se qualifier dans le but de progresser dans leurs carrières.
Elle est rapidement devenue la première filière en effectifs de la Faculté des lettres. Un engouement qui s'explique par les importantes perspectives qu'elle offre aux étudiants de formation initiale pour l'accès à l'emploi et pour les salariés venus se qualifier dans le but de progresser dans leurs carrières.
Autant d'éléments qui rendent difficile à saisir la décision de fermeture de la filière tant pour de nombreux étudiants et enseignants que de nombreux acteurs de la formation et du monde professionnel.
En fait pour les dirigeants de l'Université, c'est l'équipe enseignante actuelle qui serait la première et seule responsable de cette situation à leurs yeux irréversible. Une analyse contestée par les enseignants qui dénoncent eux le rôle du président Rochdi dans ce qu'ils appellent "la liquidation de leur filière".Le président Rochdi ferait, d'apres eux, d'une pierre deux coups.
Un: Il règle des comptes post-électoraux, certains des enseignants des Sciences de l'éducation étant ses principaux opposants.
Deux :il remercie un ami en faisant revenir à l'Université un ex-enseignant des Sciences de l'éducation de la Réunion, en poste aujourd'hui à Nantes, Frederic Tupin, qui avait été l'artisan de sa prise de pouvoir au sein de leur syndicat le SNE-SUP, puis au sein de l'Université avec le ticket Svizzero-Rochdi dont on connait la suite.
Quant aux étudiants, ils se considèrent pris en otage au sein de l'Université. D'où leurs initiatives à la fois en direction des anciens des Sciences de l'éducation, mais aussi de l'opinion réunionnaise.
Réussiront-ils? Une partie de la réponse ce soir.