Une affaire peu commune est passée devant la chambre de l’instruction de Chambéry ce jeudi 23 mars. Une Guadeloupéenne de 28 ans tentait de faire valoir de nouveaux arguments pour recouvrer la liberté.
Elle est placée en détention provisoire depuis le 11 mars suite à sa mise en examen pour viol, violences et menaces de mort sur son conjoint, révèle le titre régional Le Dauphiné Libéré. Il est reproché à l’épouse d’avoir contraint son mari à des rapports sexuels en le menaçant de dénoncer sa situation de sans-papiers.
C’est le 9 mars que tout bascule. Le mari se réfugie chez un voisin après que sa femme le menace avec un couteau car il ne lui aurait pas versé l’intégralité de sa paie gagnée grâce à ses emplois, selon les dires du mari. Ce dernier fournira aux forces de l’ordre deux enregistrements vidéo tendant à prouver les chantages de son épouse.
L’épouse nie les faits de viol, selon son avocat qui estime d’ailleurs que l'une des vidéos versées au dossier ne prouve pas qu’il y ait eu, par la suite, une relation sexuelle non consentie de la part du compagnon. Le couple est marié depuis 2016 et n’a pas d’enfant.
L’épouse, inconnue des services de police, souffrirait de paranoïa selon l’expertise psychiatrique menée dans le cadre de l’enquête.
Malgré ses dénégations, son placement en détention provisoire a été confirmé jeudi 23 mars par la chambre de l’instruction.
Elle est placée en détention provisoire depuis le 11 mars suite à sa mise en examen pour viol, violences et menaces de mort sur son conjoint, révèle le titre régional Le Dauphiné Libéré. Il est reproché à l’épouse d’avoir contraint son mari à des rapports sexuels en le menaçant de dénoncer sa situation de sans-papiers.
C’est le 9 mars que tout bascule. Le mari se réfugie chez un voisin après que sa femme le menace avec un couteau car il ne lui aurait pas versé l’intégralité de sa paie gagnée grâce à ses emplois, selon les dires du mari. Ce dernier fournira aux forces de l’ordre deux enregistrements vidéo tendant à prouver les chantages de son épouse.
L’épouse nie les faits de viol, selon son avocat qui estime d’ailleurs que l'une des vidéos versées au dossier ne prouve pas qu’il y ait eu, par la suite, une relation sexuelle non consentie de la part du compagnon. Le couple est marié depuis 2016 et n’a pas d’enfant.
L’épouse, inconnue des services de police, souffrirait de paranoïa selon l’expertise psychiatrique menée dans le cadre de l’enquête.
Malgré ses dénégations, son placement en détention provisoire a été confirmé jeudi 23 mars par la chambre de l’instruction.