Les transitaires et les transporteurs sont solidaires. A partir de ce matin, aucun transitaire ne fera sortir ou entrer la moindre marchandise de l’enceinte portuaire. Ça tombe bien car aucun transporteur ne travaille ce matin.
Ainsi, le trafic sera nul sur le Port Est aujourd’hui. Si c’est une bonne nouvelle pour les automobilistes, c’en est une moins bonne pour les entreprises et les commerçants de La Réunion.
Car les commandes pour les fêtes de fin d’années continuent à arriver. “Nous attendons trois bateaux pour la fin de la semaine”, indique Hervé Marodon.
Si les containers ne sortent plus du port, il faut s’attendre à une réaction en chaîne. D’abord, les marchandises vont s’accumuler tout au long de la durée de cette grève des transitaires et des transporteurs.
Et si la reprise n’est pas rapide, cette situation va accroître les délais de livraison. Et toutes les commandes pourraient arriver au même moment, ce qui aura une incidence négative sur le travail et la vente.
Les conséquences seraient catastrophiques lorsqu’on sait que les opérations des fêtes de fin d’année, représentent un tiers du chiffre d’affaires de certaines professions.
“C’est à l’Etat ou la Région Réunion de trouver les 20 centimes nécessaires pour nous aider à sauver notre profession”. “Ce sera le black-out dans l’enceinte portuaire, jusqu’à ce qu’on trouve une solution pour les transporteurs”. Hervé Marodon souligne que cette grève “va faire bouger les choses. En l’an 2000, nous avons mené la même action, ils ont pris l’argent sur le Cnaséa”.
Alors quelle sera la solution pour cette fois-ci ? Réponse aujourd’hui, demain ou à Noël...
Ainsi, le trafic sera nul sur le Port Est aujourd’hui. Si c’est une bonne nouvelle pour les automobilistes, c’en est une moins bonne pour les entreprises et les commerçants de La Réunion.
Car les commandes pour les fêtes de fin d’années continuent à arriver. “Nous attendons trois bateaux pour la fin de la semaine”, indique Hervé Marodon.
Si les containers ne sortent plus du port, il faut s’attendre à une réaction en chaîne. D’abord, les marchandises vont s’accumuler tout au long de la durée de cette grève des transitaires et des transporteurs.
Et si la reprise n’est pas rapide, cette situation va accroître les délais de livraison. Et toutes les commandes pourraient arriver au même moment, ce qui aura une incidence négative sur le travail et la vente.
Les conséquences seraient catastrophiques lorsqu’on sait que les opérations des fêtes de fin d’année, représentent un tiers du chiffre d’affaires de certaines professions.
“C’est à l’Etat ou la Région Réunion de trouver les 20 centimes nécessaires pour nous aider à sauver notre profession”. “Ce sera le black-out dans l’enceinte portuaire, jusqu’à ce qu’on trouve une solution pour les transporteurs”. Hervé Marodon souligne que cette grève “va faire bouger les choses. En l’an 2000, nous avons mené la même action, ils ont pris l’argent sur le Cnaséa”.
Alors quelle sera la solution pour cette fois-ci ? Réponse aujourd’hui, demain ou à Noël...