
Fallait-il organiser cette 21e édition de Salon de la maison dans ce contexte de crise mondiale qui frappe encore plus durement notre île ? Il est clair qu’ajouter du pessimisme à la situation actuelle n’est certainement pas l’attitude la plus efficace pour espérer stopper l’hémorragie dans le BTP.
L’optimisme est même de rigueur puisque que ce Salon s’avère même un pari sur l’avenir : 480 exposants et 1.000 stands. “Ce salon qui s’ouvre se veut être un des facteurs de contribution forte à la reprise économique à laquelle chacun d’entre nous aspire”, souligne Gino Ponin-Ballom, président de la Nordev.
Seulement, il ne suffira pas cette fois-ci que les bons de commande soient pleins, il faudra aussi les moyens financiers pour les mettre en œuvre. Les promoteurs immobiliers ont plus que jamais besoin d’une meilleure gestion du foncier local et le soutien financier des banques.
Le SAR (Schéma d’aménagement régional) ne loge malheureusement pas toutes les municipalités à la même enseigne. Certaines communes sont bien mieux loties que d’autres, en matière de déclassement des terrains agricoles. Il y a même quelques tours de passe-passe pour masquer certains “tripatouillages”, a regretté un maire lésé.
Nous aurons l’occasion de revenir plus en détail sur l’enquête publique menée actuellement dans les mairies.
L’optimisme est même de rigueur puisque que ce Salon s’avère même un pari sur l’avenir : 480 exposants et 1.000 stands. “Ce salon qui s’ouvre se veut être un des facteurs de contribution forte à la reprise économique à laquelle chacun d’entre nous aspire”, souligne Gino Ponin-Ballom, président de la Nordev.
Seulement, il ne suffira pas cette fois-ci que les bons de commande soient pleins, il faudra aussi les moyens financiers pour les mettre en œuvre. Les promoteurs immobiliers ont plus que jamais besoin d’une meilleure gestion du foncier local et le soutien financier des banques.
Le SAR (Schéma d’aménagement régional) ne loge malheureusement pas toutes les municipalités à la même enseigne. Certaines communes sont bien mieux loties que d’autres, en matière de déclassement des terrains agricoles. Il y a même quelques tours de passe-passe pour masquer certains “tripatouillages”, a regretté un maire lésé.
Nous aurons l’occasion de revenir plus en détail sur l’enquête publique menée actuellement dans les mairies.