
Une nouvelle polémique de plus pour le Sakifo ?
Après les nombreuses critiques sur la tenue du festival en pleine flambée épidémique et la difficulté de faire respecter les gestes barrières, une association s'intéresse à l'arrêté préfectoral valant Autorisation d’Occupation Temporaire (AOT) pour privatiser une partie de la plage. Cette fois, l'association Agir pour la Défense du Domaine Public Maritime et de l’Environnement (A.D.D.P.M.E) ne vise pas directement la direction du Sakifo mais le préfet, Jacques Billant.
L'association qui a mené un combat contre l'occupation de Paillotes sur le littoral de l'Hermitage, a adressé un mail à la préfecture pour obtenir l'arrêté en question, le 10 décembre dernier. A.D.D.P.M.E précise que ce qu'ils avaient reçu comme réponse de la part du directeur de cabinet était loin d'être suffisante. Ce dernier aurait précisé "qu' une réponse est en cours de préparation, elle a nécessité le recueil d'éléments préalables" et "qu'une réponse vous sera apportée rapidement".
Un nouveau courrier adressé à la préfecture
L'association réitère en envoyant un second courrier à la préfecture afin d'obtenir l'arrêté en question.
"La Loi est de notre côté. « Le Domaine Public Maritime est imprescriptible et inaliénable ». Le sujet du moment est le scandale de l’arrêté valant Autorisation d’Occupation Temporaire (AOT), pris par le préfet, au bénéfice des organisateurs du SAKIFO, et ayant permis à ces derniers de privatiser pendant 9 jours, au bénéfice de leurs clients, une portion de 360 m de plage, face au lagon de Saint-Pierre, en infraction à toutes lois en vigueur sur le DPM. À ce jour, malgré notre demande datant du 10 décembre 2021, l’arrêté en question ne nous a toujours pas été communiqué et n’a pas été rendu public", indique l'association par voie de communiqué.
Après les nombreuses critiques sur la tenue du festival en pleine flambée épidémique et la difficulté de faire respecter les gestes barrières, une association s'intéresse à l'arrêté préfectoral valant Autorisation d’Occupation Temporaire (AOT) pour privatiser une partie de la plage. Cette fois, l'association Agir pour la Défense du Domaine Public Maritime et de l’Environnement (A.D.D.P.M.E) ne vise pas directement la direction du Sakifo mais le préfet, Jacques Billant.
L'association qui a mené un combat contre l'occupation de Paillotes sur le littoral de l'Hermitage, a adressé un mail à la préfecture pour obtenir l'arrêté en question, le 10 décembre dernier. A.D.D.P.M.E précise que ce qu'ils avaient reçu comme réponse de la part du directeur de cabinet était loin d'être suffisante. Ce dernier aurait précisé "qu' une réponse est en cours de préparation, elle a nécessité le recueil d'éléments préalables" et "qu'une réponse vous sera apportée rapidement".
Un nouveau courrier adressé à la préfecture
L'association réitère en envoyant un second courrier à la préfecture afin d'obtenir l'arrêté en question.
"La Loi est de notre côté. « Le Domaine Public Maritime est imprescriptible et inaliénable ». Le sujet du moment est le scandale de l’arrêté valant Autorisation d’Occupation Temporaire (AOT), pris par le préfet, au bénéfice des organisateurs du SAKIFO, et ayant permis à ces derniers de privatiser pendant 9 jours, au bénéfice de leurs clients, une portion de 360 m de plage, face au lagon de Saint-Pierre, en infraction à toutes lois en vigueur sur le DPM. À ce jour, malgré notre demande datant du 10 décembre 2021, l’arrêté en question ne nous a toujours pas été communiqué et n’a pas été rendu public", indique l'association par voie de communiqué.