Habitué des sorties médiatiques contre Jean-Louis Lagourgue, Christian Annette s’attaque cette fois-ci au recrutement des cadres de la commune. En ligne de mire, Jocelyn Trulès, l’ancien Directeur Général des Services, qui a récemment pris ses fonctions à la Cinor. "Ce départ de Sainte-Maire, je m’en félicite, car ce détachement à la mairie a coûté très cher aux habitants de la commune" explique Christian Annette.
"J’ai pris le temps nécessaire au recul et à l’analyse", commente l’élu. "Aujourd’hui, il faut dépasser le cas de Jocelyn Trulès et regarder l’ensemble du tableau" continue-t-il. Deux questions principales se posent selon lui. Premièrement, la responsabilité du maire dans ces agissements, mais également l’inaction des services de l’état.
Au total, 400.000 euros de primes
Concernant le cas de Trulès, les irrégularités remontent à la nomination de l’administrateur territorial en 2008. "Nous n’avions pas les moyens de payer un fonctionnaire de ce grade pour une commune de moins de 40.000 habitants. 10.000 euros nets par mois plus les avantages, c’est une enveloppe lourde pour la collectivité. À l’époque, j’avais saisi le Préfet, qui a pourtant décidé de se désister purement et simplement" se rappelle Christian Annette.
Un "salaire surdimensionné et illégal", pour lui, pas de doute, "le responsable, c’est bien le maire ! Et ce sont les Sainte-Mariens qui payent ! Au total, 400.000 euros de primes ont été accordées par le maire illégalement, il est impératif de rembourser cette somme" soutient-il.
Des cas similaires encore en cours
Mais Christian Annette va plus loin et parle d’autres cas similaires, encore en cours à la mairie de Sainte-Marie. "Le directeur financier actuel a été recruté en CDI de manière illégale, alors qu’il était déjà en poste en CDI à Saint-Benoît" assure l’élu de l’opposition. Il pointe également du doigt l’indemnité de vie chère et la surrémunération de 53% de l’agent contractuel. La situation a été épinglée par la Chambre Régionale des Comptes.
Le but de ces manœuvres selon Christian Annette, "entraver le devoir de réserve de ces cadres". Le retour du directeur de cabinet de Sainte-Marie est également pointé du doigt par l’élu de l’opposition.
"J’en appelle donc aux instructions de contrôle pour que chacun prenne ses responsabilités et que l’autorité de l’état s’exerce" conclut Christian Annette.
"J’ai pris le temps nécessaire au recul et à l’analyse", commente l’élu. "Aujourd’hui, il faut dépasser le cas de Jocelyn Trulès et regarder l’ensemble du tableau" continue-t-il. Deux questions principales se posent selon lui. Premièrement, la responsabilité du maire dans ces agissements, mais également l’inaction des services de l’état.
Au total, 400.000 euros de primes
Concernant le cas de Trulès, les irrégularités remontent à la nomination de l’administrateur territorial en 2008. "Nous n’avions pas les moyens de payer un fonctionnaire de ce grade pour une commune de moins de 40.000 habitants. 10.000 euros nets par mois plus les avantages, c’est une enveloppe lourde pour la collectivité. À l’époque, j’avais saisi le Préfet, qui a pourtant décidé de se désister purement et simplement" se rappelle Christian Annette.
Un "salaire surdimensionné et illégal", pour lui, pas de doute, "le responsable, c’est bien le maire ! Et ce sont les Sainte-Mariens qui payent ! Au total, 400.000 euros de primes ont été accordées par le maire illégalement, il est impératif de rembourser cette somme" soutient-il.
Des cas similaires encore en cours
Mais Christian Annette va plus loin et parle d’autres cas similaires, encore en cours à la mairie de Sainte-Marie. "Le directeur financier actuel a été recruté en CDI de manière illégale, alors qu’il était déjà en poste en CDI à Saint-Benoît" assure l’élu de l’opposition. Il pointe également du doigt l’indemnité de vie chère et la surrémunération de 53% de l’agent contractuel. La situation a été épinglée par la Chambre Régionale des Comptes.
Le but de ces manœuvres selon Christian Annette, "entraver le devoir de réserve de ces cadres". Le retour du directeur de cabinet de Sainte-Marie est également pointé du doigt par l’élu de l’opposition.
"J’en appelle donc aux instructions de contrôle pour que chacun prenne ses responsabilités et que l’autorité de l’état s’exerce" conclut Christian Annette.