
La scène sidérante s’est déroulée le 21 septembre 2020. Si Manuel* a vu rouge, ce serait parce que le nouveau compagnon de son ex le narguerait régulièrement et qu’il aurait manqué de l’écraser quelques minutes plus tôt.
Après l’avoir coursé jusqu’au dépôt de bus, Manuel est d’abord sorti seul de la voiture pour chercher des explications mais au lieu des mots, ce sont les coups qui ont plu. Alors que le jeune homme de 28 ans retourne à la voiture, François*, la victime, lui lance un galet.
Manuel revient muni d’un câble électrique accompagné de son frère et d’un ami. Malgré l’intervention des collègues de François, le chauffeur de bus est salement amoché. Plaie à l’arcade, hématomes, lésions… 10 jours d’ITT lui sont délivrés.
"On ne peut pas se faire justice soi-même, même si tant est qu’on eut été nargué", a rappelé la partie civile.
Pour ces faits, dans un contexte de jalousie au sujet de ses enfants qui s’entendent bien avec le nouvel ami de leur maman, Manuel a été condamné à 2 ans dont 18 mois avec sursis probatoire, l’interdiction d’entrer en contact avec la victime et l’obligation de l’indemniser. Les deux autres membres de "l’équipée sauvage" ont écopé d’un an avec sursis simple et de l’interdiction d’entrer en contact avec la victime.
*prénoms d'emprunt
Après l’avoir coursé jusqu’au dépôt de bus, Manuel est d’abord sorti seul de la voiture pour chercher des explications mais au lieu des mots, ce sont les coups qui ont plu. Alors que le jeune homme de 28 ans retourne à la voiture, François*, la victime, lui lance un galet.
Manuel revient muni d’un câble électrique accompagné de son frère et d’un ami. Malgré l’intervention des collègues de François, le chauffeur de bus est salement amoché. Plaie à l’arcade, hématomes, lésions… 10 jours d’ITT lui sont délivrés.
"On ne peut pas se faire justice soi-même, même si tant est qu’on eut été nargué", a rappelé la partie civile.
Pour ces faits, dans un contexte de jalousie au sujet de ses enfants qui s’entendent bien avec le nouvel ami de leur maman, Manuel a été condamné à 2 ans dont 18 mois avec sursis probatoire, l’interdiction d’entrer en contact avec la victime et l’obligation de l’indemniser. Les deux autres membres de "l’équipée sauvage" ont écopé d’un an avec sursis simple et de l’interdiction d’entrer en contact avec la victime.
*prénoms d'emprunt