
Représentants syndicaux et le directeur du Centre hospitalier universitaire, David Gruson, ont signé hier à 17h le protocole de fin de conflit.
Depuis lundi, le service informatique du site sudiste du CHU s'était mis en grève par les volontés conjuguées de la CFDT, de la CGTR et de SUD Santé. Une pétition signée par plus de 600 agents depuis lundi est venue appuyer les revendications de ces trois syndicats.
Les représentants syndicaux mettaient la direction face à ses responsabilités dans la dégradation des conditions de travail.
La direction du CHU s'est engagée à suivre les modalités du rapport du cabinet d'audit Secafi dont les conclusions - qui ont démontré la réalité des risques psychosociaux (RPS) - avaient été rendues en 2013.
Un plan de prévention des RPS sera engagé au GHSR de Saint-Pierre. Dans le Nord, à Bellepierre, une même procédure sera mise en place sous la houlette de la CGSS.
Concernant cette fois le malaise du personnel au niveau du management, d'autres garanties ont été actées. Le CHU va redéfinir un schéma de management dans les futures semaines.
Les griefs du personnel du service informatique qui portaient sur la personne de leur directeur de service ont été pris en compte. Bien qu'ayant pris les devants en se mettant volontairement en retrait du management pendant huit semaines, le directeur du service informatique ne devrait plus occuper sa fonction actuelle au terme de ce remaniement managérial.
Ce jeudi 6 mars, un autre rendez-vous attend les représentants du personnel. Il s'agit d'une réunion extraordinaire du comité hygiène et sécurité (CHSCT) en matinée. Elle débattra des problèmes spécifiques au service informatique, encore.
"L'ensemble de ces garanties ont permis la levée de grève", confie Expédit Lock-Fat de la CFDT Santé. "Le climat tendu de ce matin a débouché sur des discussions franches et constructives", ajoute-t-il.
Depuis lundi, le service informatique du site sudiste du CHU s'était mis en grève par les volontés conjuguées de la CFDT, de la CGTR et de SUD Santé. Une pétition signée par plus de 600 agents depuis lundi est venue appuyer les revendications de ces trois syndicats.
Les représentants syndicaux mettaient la direction face à ses responsabilités dans la dégradation des conditions de travail.
La direction du CHU s'est engagée à suivre les modalités du rapport du cabinet d'audit Secafi dont les conclusions - qui ont démontré la réalité des risques psychosociaux (RPS) - avaient été rendues en 2013.
Un plan de prévention des RPS sera engagé au GHSR de Saint-Pierre. Dans le Nord, à Bellepierre, une même procédure sera mise en place sous la houlette de la CGSS.
Concernant cette fois le malaise du personnel au niveau du management, d'autres garanties ont été actées. Le CHU va redéfinir un schéma de management dans les futures semaines.
Les griefs du personnel du service informatique qui portaient sur la personne de leur directeur de service ont été pris en compte. Bien qu'ayant pris les devants en se mettant volontairement en retrait du management pendant huit semaines, le directeur du service informatique ne devrait plus occuper sa fonction actuelle au terme de ce remaniement managérial.
Ce jeudi 6 mars, un autre rendez-vous attend les représentants du personnel. Il s'agit d'une réunion extraordinaire du comité hygiène et sécurité (CHSCT) en matinée. Elle débattra des problèmes spécifiques au service informatique, encore.
"L'ensemble de ces garanties ont permis la levée de grève", confie Expédit Lock-Fat de la CFDT Santé. "Le climat tendu de ce matin a débouché sur des discussions franches et constructives", ajoute-t-il.

