Samedi, alors qu'elle se promenait dans la rue Casabona, l'attention d'Amandine, bénévole au sein de l'Association Pour l'Education et la Bienveillance Animale (APEBA), a été attirée par trois sacs-poubelle posés sur un tas de déchets. L'un des sacs transparent laissait entrevoir un cadavre.
Le lendemain, la bénévole revient dans l'idée d'identifier les animaux. Au spectacle déjà désolant des trois chats enfermés dans les sacs poubelle et jetés dans un dépôt sauvage s’est alors ajoutée l’horreur des sévices subis par les trois félins. "Ils semblent avoir été brûlés avec de l’huile ou de l’eau chaude. Ils n’ont plus de poils sur les flancs et la peau est à vif", décrit Amandine. La bénévole a déjà constaté ce type de blessures sur un chien à qui elle a porté secours, brûlé après avoir été aspergé d’huile chaude.
Un des chats est particulièrement blessé aux pattes, "comme s’il avait été attaché par le cou et trainé sur plusieurs kilomètres", suppose-t-elle. En revanche, au regard de la corpulence des chats, Amandine doute que ceux-ci soient des animaux errants. "Ce sont de beaux et gros chats, ils ont été nourris régulièrement", assure-t-elle.
Lasse de faire face à ce type de maltraitance, Amandine tente de savoir si les animaux ont un propriétaire et finit par obtenir un lecteur de puce. Mais aucun d’eux n’en est pourvu.
Un obstacle qui n’entame pas sa détermination. "Il faut prendre des sanctions sinon ça ne s’arrêtera pas". Amandine a porté plainte ce mardi au nom de l'association APEBA pour "mauvais traitements infligés sans nécessité à un animal domestique apprivoisé ou captif". Le policier qui a pris sa plainte n'a pas hésité également à dépêcher la fourrière sur place.
S'appuyant sur la loi du 30 novembre 2021 visant à lutter contre la maltraitance animale en renforçant les sanctions à l'encontre des contrevenants, l'association APEBA annonce qu'elle écrira à la procureure de la République et demandera à l'association 30 millions d'amis de se porter partie civile.
Le lendemain, la bénévole revient dans l'idée d'identifier les animaux. Au spectacle déjà désolant des trois chats enfermés dans les sacs poubelle et jetés dans un dépôt sauvage s’est alors ajoutée l’horreur des sévices subis par les trois félins. "Ils semblent avoir été brûlés avec de l’huile ou de l’eau chaude. Ils n’ont plus de poils sur les flancs et la peau est à vif", décrit Amandine. La bénévole a déjà constaté ce type de blessures sur un chien à qui elle a porté secours, brûlé après avoir été aspergé d’huile chaude.
Un des chats est particulièrement blessé aux pattes, "comme s’il avait été attaché par le cou et trainé sur plusieurs kilomètres", suppose-t-elle. En revanche, au regard de la corpulence des chats, Amandine doute que ceux-ci soient des animaux errants. "Ce sont de beaux et gros chats, ils ont été nourris régulièrement", assure-t-elle.
Lasse de faire face à ce type de maltraitance, Amandine tente de savoir si les animaux ont un propriétaire et finit par obtenir un lecteur de puce. Mais aucun d’eux n’en est pourvu.
Un obstacle qui n’entame pas sa détermination. "Il faut prendre des sanctions sinon ça ne s’arrêtera pas". Amandine a porté plainte ce mardi au nom de l'association APEBA pour "mauvais traitements infligés sans nécessité à un animal domestique apprivoisé ou captif". Le policier qui a pris sa plainte n'a pas hésité également à dépêcher la fourrière sur place.
S'appuyant sur la loi du 30 novembre 2021 visant à lutter contre la maltraitance animale en renforçant les sanctions à l'encontre des contrevenants, l'association APEBA annonce qu'elle écrira à la procureure de la République et demandera à l'association 30 millions d'amis de se porter partie civile.