
Le président du CCAS de Saint-Philippe, Olivier Rivière, a débloqué une aide sociale d'urgence en faveur des ex-employés de l'ARAST qui œuvraient sur la commune auprès des personnes âgées, il y a quelques semaines encore.
Cette somme individuelle a été fixée à 150 euros et pourrait être accompagnée par d'autres aides financières et/ou alimentaires selon les cas. Une séance spéciale devrait se tenir dans les jours prochains sur cette question et sur les montants de ces nouvelles aides qui pourraient, entre autres, prendre la forme de colis alimentaires.
Cette aide est le résultat d'une réunion qui s'est tenue hier matin en présence d'une délégation de six ex-employés de l'ARAST qui exerçaient leurs fonctions à Saint-Philippe. Pour la plupart de ces mères de familles, la situation est devenue inextricable et cette aide constitue à coup sûr une première bouffée d'oxygène pour subvenir à des besoins spécifiques, plus particulièrement auprès de leurs enfants.
De leur côté, les personnes âgées sont nombreuses à ne plus bénéficier des différents soins des aides à domiciles qui exerçaient sur la commune du Sud sauvage. C'est pourquoi, les services sociaux du Centre communal d'action sociale ont été priés de "demeurer en alerte et de tout mettre en œuvre pour construire une solution alternative communale sur le territoire", explique le maire et président du CCAS, Olivier Rivière.
Cette somme individuelle a été fixée à 150 euros et pourrait être accompagnée par d'autres aides financières et/ou alimentaires selon les cas. Une séance spéciale devrait se tenir dans les jours prochains sur cette question et sur les montants de ces nouvelles aides qui pourraient, entre autres, prendre la forme de colis alimentaires.
Cette aide est le résultat d'une réunion qui s'est tenue hier matin en présence d'une délégation de six ex-employés de l'ARAST qui exerçaient leurs fonctions à Saint-Philippe. Pour la plupart de ces mères de familles, la situation est devenue inextricable et cette aide constitue à coup sûr une première bouffée d'oxygène pour subvenir à des besoins spécifiques, plus particulièrement auprès de leurs enfants.
De leur côté, les personnes âgées sont nombreuses à ne plus bénéficier des différents soins des aides à domiciles qui exerçaient sur la commune du Sud sauvage. C'est pourquoi, les services sociaux du Centre communal d'action sociale ont été priés de "demeurer en alerte et de tout mettre en œuvre pour construire une solution alternative communale sur le territoire", explique le maire et président du CCAS, Olivier Rivière.