
Le document rédigé et signé par Huguette Bello et Stéphanie Dalleau est un complément à une convention déjà validée. Celle-ci définit déjà les domaines et les modalités de la SEOR. Cette fois-ci, il s’agit de lutter contre les lumières nocturnes à outrance, néfastes aux oiseaux.
Cette action est définie en trois points :
- utiliser un volume et une intensité adapté aux besoins pour réduire le nombre de sources lumineuses, leur puissance et limiter les périodes d’éclairement aux besoins réels de la sécurité de la population.
“Les éclairages de mise en valeur de sites ou de monuments seront utilisés uniquement en début de soirée. Durant les périodes d’envol des pétrels, les éclairages de mise en valeur de sites ou de monuments, orientés vers le ciel, seront éteints”.
- éviter la diffusion de la lumière vers le ciel “et concentrer le faisceau lumineux vers le bas et sur les surfaces du sol où l’éclairage est nécessaire”.
- Utiliser la lumière la moins attractive “c’est-à-dire les lampes éclairant dans la longueur d’onde jaune monochromatique”.
Ce complément à la convention propose aussi d’adapter la réglementation quand la situation l’exige.
Cette action est définie en trois points :
- utiliser un volume et une intensité adapté aux besoins pour réduire le nombre de sources lumineuses, leur puissance et limiter les périodes d’éclairement aux besoins réels de la sécurité de la population.
“Les éclairages de mise en valeur de sites ou de monuments seront utilisés uniquement en début de soirée. Durant les périodes d’envol des pétrels, les éclairages de mise en valeur de sites ou de monuments, orientés vers le ciel, seront éteints”.
- éviter la diffusion de la lumière vers le ciel “et concentrer le faisceau lumineux vers le bas et sur les surfaces du sol où l’éclairage est nécessaire”.
- Utiliser la lumière la moins attractive “c’est-à-dire les lampes éclairant dans la longueur d’onde jaune monochromatique”.
Ce complément à la convention propose aussi d’adapter la réglementation quand la situation l’exige.