
Les forces de l’ordre étaient bien en place, ce jeudi, pour le conseil municipal de Saint-Paul. Un mois après sa perturbation par un groupe de jeunes, les policiers, les gendarmes et les ASVP étaient nombreux ce jeudi à veiller à la sécurité de la séance.
Pour rappel, la quinzaine d’individus avait reproché à Joseph Sinimalé de ne pas avoir tenu ses promesses, notamment en matière d’emploi. L’échange avait pris une tournure plutôt musclée.
Du côté de la police, on assure qu’ « il s’agit d’un dispositif normal ». Pourtant, ce jeudi, au moins 9 policiers municipaux étaient présents. Plus que d’ordinaire donc. Du côté de la gendarmerie, on confirme « un léger renfort ».
L’incident du 1er octobre est forcément dans les esprits. Dès le début du conseil, Emmanuel Séraphin, élu de l’opposition, évoque d'ailleurs le sujet : « Suite à cet incident, des contrats de 2000 euros auraient été signés. Que ces personnes puissent avoir des contrats, tant mieux, mais tout de même, par rapport à l’ensemble des Saint-Paulois, cela a de quoi interpeller. C’est l’exemple que vous donnez aux 18000 habitants de la commune inscrits au Pôle emploi ? 7000 personnes sont pénalisées par vos promesses non-tenues ».
Le conseiller municipal poursuit : « Pourquoi, à côté de cela, supprimer le carrefour de l’emploi, de l’insertion, et de la formation professionnelle ? Cette situation n’est pas admissible ! ».
Joseph Sinimalé, après avoir ignoré plusieurs fois la question et tenté de passer à la deuxième affaire, botte en touche : « Vous délirez ! On est sur un dossier concernant la journée internationale de l’enfant et vous me parlez de carrefour de l’emploi, ça n’a rien à voir !» Et le maire de conclure : « Je suis un élu plein de bonheur, car je n’ai rien à me reprocher ».
Pour rappel, la quinzaine d’individus avait reproché à Joseph Sinimalé de ne pas avoir tenu ses promesses, notamment en matière d’emploi. L’échange avait pris une tournure plutôt musclée.
Du côté de la police, on assure qu’ « il s’agit d’un dispositif normal ». Pourtant, ce jeudi, au moins 9 policiers municipaux étaient présents. Plus que d’ordinaire donc. Du côté de la gendarmerie, on confirme « un léger renfort ».
L’incident du 1er octobre est forcément dans les esprits. Dès le début du conseil, Emmanuel Séraphin, élu de l’opposition, évoque d'ailleurs le sujet : « Suite à cet incident, des contrats de 2000 euros auraient été signés. Que ces personnes puissent avoir des contrats, tant mieux, mais tout de même, par rapport à l’ensemble des Saint-Paulois, cela a de quoi interpeller. C’est l’exemple que vous donnez aux 18000 habitants de la commune inscrits au Pôle emploi ? 7000 personnes sont pénalisées par vos promesses non-tenues ».
Le conseiller municipal poursuit : « Pourquoi, à côté de cela, supprimer le carrefour de l’emploi, de l’insertion, et de la formation professionnelle ? Cette situation n’est pas admissible ! ».
Joseph Sinimalé, après avoir ignoré plusieurs fois la question et tenté de passer à la deuxième affaire, botte en touche : « Vous délirez ! On est sur un dossier concernant la journée internationale de l’enfant et vous me parlez de carrefour de l’emploi, ça n’a rien à voir !» Et le maire de conclure : « Je suis un élu plein de bonheur, car je n’ai rien à me reprocher ».
