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Saint-Louis: Le tueur a utilisé deux armes à feu

Le parquet de Saint-Pierre communique les tout derniers éléments de l’enquête ouverte pour double homicide survenu très probablement dès vendredi soir à Saint-Louis. Ce samedi matin, les gendarmes de la brigade de Saint-Louis, alertés par un membre de la famille, se rendaient dans une habitation située rue de l’Étang dans le quartier Bel Air. Ils […]

Ecrit par Zinfos974 – le samedi 26 mai 2018 à 16H18

Le parquet de Saint-Pierre communique les tout derniers éléments de l’enquête ouverte pour double homicide survenu très probablement dès vendredi soir à Saint-Louis.

Ce samedi matin, les gendarmes de la brigade de Saint-Louis, alertés par un membre de la famille, se rendaient dans une habitation située rue de l’Étang dans le quartier Bel Air. Ils y découvraient trois corps sans vie.

La brigade des recherches de Saint-Pierre était saisie de l’enquête criminelle. Le recueil des premiers témoignages permettait de privilégier la thèse d’un double homicide suivi du suicide du meurtrier, et ce à la suite d’une rupture conjugale.

Le compagnon était inconnu de la Justice

Les constatations des techniciens en investigations criminelles de la Gendarmerie nationale ainsi que la levée des corps par un médecin légiste corroboraient les premiers éléments de l’enquête. Il avait été fait usage de deux armes, une arme d’épaule et un revolver. Les constatations médico-légales ne remettaient pas en doute les témoignages selon lesquels des coups de feu avaient été entendus dans la soirée du 25 mai 2018.

Des investigations sont en cours afin de déterminer avec précision l’enchaînement des événements à l’origine de ces décès. Les autopsies auront lieu mardi.

Deux enfants étaient présents au domicile maternelle lors des faits. Ils n’ont été recueillis que lors de la découverte des corps par le témoin requérant. Ils n’ont subi aucun dommage corporel. Ils ont néanmoins fait l’objet d’une prise en charge médico-psychologique et d’un placement provisoire chez un tiers digne de confiance.

Les parents des enfants étaient séparés depuis peu de temps. Les services de gendarmerie n’avaient été saisis d’aucune plainte concernant la relation conjugale ou la séparation. Le compagnon suspecté d’avoir donné la mort était inconnu des services d’enquête et de la Justice.

 

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