
Quand Michel boit, il se retrouve bien souvent devant le tribunal correctionnel de Saint-Pierre. Une nouvelle fois, ce mardi, il comparaissait pour avoir outragé un chargé de clientèle de la Poste.
Le 17 décembre 2020, le Saint-Louisien compose à trois reprises un code erroné à un distributeur automatique de la Poste. Furieux et alcoolisé, il entre dans l’agence et souhaite récupérer sa carte bleue sans se soucier de la file d’attente.
Un chargé de clientèle, lui demande alors de patienter. En retour, ce dernier essuie des vociférations. "Tu es sûr de toi ? Viens dehors, tu vas voir. Tu connais ce que c’est qu’un Famas (n.d.l.r un fusil d’assaut) ? Tu vas bientôt connaître", lance le mis en cause.
Après avoir appelé les gendarmes, les employés de la Poste parviennent finalement à extraire l’intrus des locaux.
Le 24 mars dernier, Michel est cette fois-ci contrarié par la clôture de son compte. Il ne peut donc plus recevoir ses revenus sociaux. Ivre, il dissuade cette fois les clients d’entrer dans l’établissement.
Ce mardi, dans le prétoire, le prévenu reconnaît les faits sans sourciller avant d’informer le tribunal de son changement de banque. "Ce n'est pas un problème de banque. Mais, un problème de comportement de votre part", souligne la présidente d'audience.
La partie civile rappelle dans sa plaidoirie que la politique de La Poste est intransigeante. "En cas d’agression, on clôture les comptes".
Le Saint-Louisien a été condamné à 450 d’amende par le tribunal correctionnel.
Le 17 décembre 2020, le Saint-Louisien compose à trois reprises un code erroné à un distributeur automatique de la Poste. Furieux et alcoolisé, il entre dans l’agence et souhaite récupérer sa carte bleue sans se soucier de la file d’attente.
Un chargé de clientèle, lui demande alors de patienter. En retour, ce dernier essuie des vociférations. "Tu es sûr de toi ? Viens dehors, tu vas voir. Tu connais ce que c’est qu’un Famas (n.d.l.r un fusil d’assaut) ? Tu vas bientôt connaître", lance le mis en cause.
Après avoir appelé les gendarmes, les employés de la Poste parviennent finalement à extraire l’intrus des locaux.
Le 24 mars dernier, Michel est cette fois-ci contrarié par la clôture de son compte. Il ne peut donc plus recevoir ses revenus sociaux. Ivre, il dissuade cette fois les clients d’entrer dans l’établissement.
Ce mardi, dans le prétoire, le prévenu reconnaît les faits sans sourciller avant d’informer le tribunal de son changement de banque. "Ce n'est pas un problème de banque. Mais, un problème de comportement de votre part", souligne la présidente d'audience.
La partie civile rappelle dans sa plaidoirie que la politique de La Poste est intransigeante. "En cas d’agression, on clôture les comptes".
Le Saint-Louisien a été condamné à 450 d’amende par le tribunal correctionnel.