Dans sa dernière tribune, l’ex directrice de cabinet de Thierry Robert s’est offusqué de la nouvelle situation politique à Saint-Leu et tente ainsi désespérément de se relancer politiquement à l’occasion des élections municipales du 15 mars prochain. Ce courrier des lecteurs de la chargée de mission de la CINOR est une démarche « gros doigt » caractéristique de la énième stratégie de communication foireuse de l’ex député-maire LPA. Empêché de se présenter Thierry Robert envoie un ballon d’essai. Il jauge les chances de Karine Nabenesa aux municipales au travers des réactions des Saint-Leusiens à ce communiqué de presse de son ex collaboratrice.
Mais cette tentative désespérée de se raccrocher au scrutin du 15 mars est vouée à un échec certain car Karine Nabenesa a laissé un souvenir amer aux administrés saint-leusiens.
En effet, cette dernière en tant que directrice du cabinet à la mairie n’a strictement rien fait de remarquable. Elle n’a jamais été appréciée des gens de Saint-leu (elle n’a rien fait pour non plus !), se contentant de faire de la politique polémique dressant les uns contre les autres. Ainsi elle a tout fait pour empêcher la création d’une section locale du Parti En Marche à Saint-Leu. Elle n’a pas arrêté de manigancer pour barrer la route à une candidature En marche aux élections législatives en 2017 et en 2018 dans la 7ième circonscription. Imbue de sa personne, elle a bloqué tout développement du parti présidentiel dans l’ouest alors que ce territoire était très favorable aux thèses macroniennes.
Tout cela parce que Karine Nabenesa (ou Carine Nabénéza, on ne sait pas ?) a une ambition politique dévorante où elle n’hésite pas à sacrifier les militants au bénéfice de sa carrière. Outre l’ouest où elle a été le principal obstacle à l’émergence d’En Marche, Karine Nabenesa a définitivement ruiné les chances d’implantation du mouvement d’Emmanuel Macron à Saint-Denis en présentant sa candidature « sauvage » face au candidat officiel du Parti lors des élections législatives de 2017. Le résultat fut non seulement très faible pour cette candidate dissidente (3.,4% des voix seulement) mais en plus elle a cassé la dynamique d’En Marche dans le nord par son comportement erratique.
Ce qui distingue également Karine Nabénéza, c’est sa mauvaise foi consternante. Par exemple, sur le projet contesté d’une éventuelle carrière à Bois Blanc, elle continue à insinuer le doute alors qu’elle sait très bien qu’il n’y aura pas de carrière à Bois Blanc puisque les constructeurs ont annoncé que le prélèvement d’andains sera suffisant pour terminer la route digue de la NRL. Madame Nabénéza, il n’est pas nécessaire de propager de fausses rumeurs pour avancer en politique. La vérité, la rectitude sont des valeurs qui au contraire devraient guider notre nouveau monde d’élus.
Pour conclure Madame Nabeneza, je vous conseille de remplir votre mission à la CINOR (et ce du mieux que vous le pouvez !) et s’il vous plaît pour le bien des Saint-Leusiens, laissez-nous tranquilles, nous avons suffisamment de talents locaux qui peuvent travailler à redorer l’image de notre Ville.
Mais cette tentative désespérée de se raccrocher au scrutin du 15 mars est vouée à un échec certain car Karine Nabenesa a laissé un souvenir amer aux administrés saint-leusiens.
En effet, cette dernière en tant que directrice du cabinet à la mairie n’a strictement rien fait de remarquable. Elle n’a jamais été appréciée des gens de Saint-leu (elle n’a rien fait pour non plus !), se contentant de faire de la politique polémique dressant les uns contre les autres. Ainsi elle a tout fait pour empêcher la création d’une section locale du Parti En Marche à Saint-Leu. Elle n’a pas arrêté de manigancer pour barrer la route à une candidature En marche aux élections législatives en 2017 et en 2018 dans la 7ième circonscription. Imbue de sa personne, elle a bloqué tout développement du parti présidentiel dans l’ouest alors que ce territoire était très favorable aux thèses macroniennes.
Tout cela parce que Karine Nabenesa (ou Carine Nabénéza, on ne sait pas ?) a une ambition politique dévorante où elle n’hésite pas à sacrifier les militants au bénéfice de sa carrière. Outre l’ouest où elle a été le principal obstacle à l’émergence d’En Marche, Karine Nabenesa a définitivement ruiné les chances d’implantation du mouvement d’Emmanuel Macron à Saint-Denis en présentant sa candidature « sauvage » face au candidat officiel du Parti lors des élections législatives de 2017. Le résultat fut non seulement très faible pour cette candidate dissidente (3.,4% des voix seulement) mais en plus elle a cassé la dynamique d’En Marche dans le nord par son comportement erratique.
Ce qui distingue également Karine Nabénéza, c’est sa mauvaise foi consternante. Par exemple, sur le projet contesté d’une éventuelle carrière à Bois Blanc, elle continue à insinuer le doute alors qu’elle sait très bien qu’il n’y aura pas de carrière à Bois Blanc puisque les constructeurs ont annoncé que le prélèvement d’andains sera suffisant pour terminer la route digue de la NRL. Madame Nabénéza, il n’est pas nécessaire de propager de fausses rumeurs pour avancer en politique. La vérité, la rectitude sont des valeurs qui au contraire devraient guider notre nouveau monde d’élus.
Pour conclure Madame Nabeneza, je vous conseille de remplir votre mission à la CINOR (et ce du mieux que vous le pouvez !) et s’il vous plaît pour le bien des Saint-Leusiens, laissez-nous tranquilles, nous avons suffisamment de talents locaux qui peuvent travailler à redorer l’image de notre Ville.