
Lundi, peu avant 11h, la secrétaire du club de parapente reçoit un appel en numéro masqué d’un homme incapable de trouver leurs locaux, lui demandant de sortir du local pour lui faire un signe depuis le bord de la route. Cette dernière s’exécute, sort deux minutes, et à son retour voit un homme sortir du local depuis la terrasse. Quand les patrons arrivent, ils découvrent que les enveloppes d’espèces, de chèques et chèques vacances préparées le matin même ont disparu ainsi que le fond de caisse soit environ 10.000 euros.
L’enquête mène rapidement les gendarmes à Claude grâce à son téléphone. Lors de la perquisition chez lui, une seule enveloppe pleine de billet est retrouvée. Selon Claude, c’est l’autre comparse qui a le reste du butin. Un certain Kevin, qu’il a rencontré par hasard le matin du vol, lui aurait demandé d’appeler le club de parapente. L’homme n’a pu être identifié par les enquêteurs face aux trop peu d’éléments fournis par Claude. Avec sa part, le prévenu a eu le temps d’acheter des enceintes d’occasion, de louer une voiture et de faire les courses.
11 mentions, pour vol pour la plupart, figurent à son casier judiciaire. À la barre du tribunal correctionnel, jugé en comparution immédiate, le père de 4 enfants assure qu’il ne savait pas que l’enveloppe provenait du vol. Une explication difficile à croire pour l’ensemble du prétoire.
Claude a été condamné à 7 mois de prison et a été placé sous mandat de dépôt. Comme demandé par la partie civile particulièrement bienveillante, il devra rembourser la somme de 2.600 euros à la société de parapente.
L’enquête mène rapidement les gendarmes à Claude grâce à son téléphone. Lors de la perquisition chez lui, une seule enveloppe pleine de billet est retrouvée. Selon Claude, c’est l’autre comparse qui a le reste du butin. Un certain Kevin, qu’il a rencontré par hasard le matin du vol, lui aurait demandé d’appeler le club de parapente. L’homme n’a pu être identifié par les enquêteurs face aux trop peu d’éléments fournis par Claude. Avec sa part, le prévenu a eu le temps d’acheter des enceintes d’occasion, de louer une voiture et de faire les courses.
11 mentions, pour vol pour la plupart, figurent à son casier judiciaire. À la barre du tribunal correctionnel, jugé en comparution immédiate, le père de 4 enfants assure qu’il ne savait pas que l’enveloppe provenait du vol. Une explication difficile à croire pour l’ensemble du prétoire.
Claude a été condamné à 7 mois de prison et a été placé sous mandat de dépôt. Comme demandé par la partie civile particulièrement bienveillante, il devra rembourser la somme de 2.600 euros à la société de parapente.