Depuis une semaine, la Guadeloupe et la Martinique connaissent une agitation qui a parfois dévié en affrontements. Si la contestation a débuté contre le pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants, les causes de la colère invoquées se sont étendues à d’autres problématiques que connaissent les Outre-mer.
C’est pour soutenir ces combats que l’intersyndicale composée de la CGTR, FO, FSU, SOLIDAIRES, SAIPER-UDAS et ATTAC-REUNION a appelé la population réunionnaise à soutenir les Antillais. Un appel que le PCR a par la suite relayé. Rendez-vous était donc donné ce dimanche sur le parvis des Droits de l’Homme à Saint-Denis. Une centaine de personnes étaient présentes.
Du côté des organisations syndicales, plusieurs motifs sont invoqués pour soutenir les revendications des Antillais qui résonnent pour l’ensemble des territoires ultramarins. Les manifestations réclament la fin de la répression policière, jugée comme la seule réponse actuelle du gouvernement.
Ils demandent également la défense des libertés individuelles et syndicales et réaffirment être contre l’obligation vaccinale, le Pass Sanitaire et le chantage à l’emploi. Ils dénoncent la vie chère et exigent l’augmentation générale des salaires, des retraites et des minima sociaux. Enfin, ils veulent le développement de l’emploi pérenne et militent pour la défense et le renforcement des services publics, notamment dans le secteur de la santé.
À côté des syndicalistes, de nombreux anti-pass étaient présents. Des tensions ont éclaté autour de certaines pancartes auxquelles les représentants syndicaux ne voulaient pas être associés. Les anti-pass reprochent de leurs côtés les syndicats de ne pas les avoir soutenus.
C’est pour soutenir ces combats que l’intersyndicale composée de la CGTR, FO, FSU, SOLIDAIRES, SAIPER-UDAS et ATTAC-REUNION a appelé la population réunionnaise à soutenir les Antillais. Un appel que le PCR a par la suite relayé. Rendez-vous était donc donné ce dimanche sur le parvis des Droits de l’Homme à Saint-Denis. Une centaine de personnes étaient présentes.
Du côté des organisations syndicales, plusieurs motifs sont invoqués pour soutenir les revendications des Antillais qui résonnent pour l’ensemble des territoires ultramarins. Les manifestations réclament la fin de la répression policière, jugée comme la seule réponse actuelle du gouvernement.
Ils demandent également la défense des libertés individuelles et syndicales et réaffirment être contre l’obligation vaccinale, le Pass Sanitaire et le chantage à l’emploi. Ils dénoncent la vie chère et exigent l’augmentation générale des salaires, des retraites et des minima sociaux. Enfin, ils veulent le développement de l’emploi pérenne et militent pour la défense et le renforcement des services publics, notamment dans le secteur de la santé.
À côté des syndicalistes, de nombreux anti-pass étaient présents. Des tensions ont éclaté autour de certaines pancartes auxquelles les représentants syndicaux ne voulaient pas être associés. Les anti-pass reprochent de leurs côtés les syndicats de ne pas les avoir soutenus.