
Une bonne nouvelle pour les habitants de Saint-Denis, les impôts locaux n'augmenteront pas cette année et ce "malgré un contexte économique difficile" rappelle Gilbert Annette, maire de Saint-Denis, "le taux d'imposition est un sujet sensible pour les contribuables qui vivent une période difficile, ils sont sensibles sur la question des impôts d'autant que beaucoup de communes ont dû augmenter les taux d'imposition pour faire face aux dépenses supplémentaires et gel des dotations de l'Etat aux collectivités".
Produit fiscal de 59,2 millions d'euros
Une des promesses de l'équipe municipale actuelle, "s'engager à ne pas pénaliser le pouvoir d'achat des Dionysiens, depuis 2008 nous maintenons les taux d'imposition au même niveau où nous les avons trouvé, une décision prise qui n'est pas sans conséquence (ndlr : pour les finances de la ville)", rappelle Gilbert Annette.
Avec les mêmes taux : 17,73% pour la taxe d'habitation, 22,65% pour la taxe foncière sur les propriétés bâties et 12,40% pour la taxe foncière sur les propriétés non bâties, la prévision de produit fiscal attendu pour le budget de la ville de Saint-Denis est estimé à 59,2 millions d'euros.
"Vous pourriez baisser les impôts"
Après l'annonce du maintient des taux d'impositions, l'opposition a pris la parole pour demander, par la voix de René-Paul Victoria, une "baisse de ces taux de l'ordre de 1 à 2%", une demande qui s'explique selon le député "par une augmentation constante du produit fiscal (ndlr : de 47 à 59 millions entre 2007 et 2011) et malgré le gel des dotations par l'Etat, des recettes de fonctionnement en augmentation (ndlr : de 34 à 37 millions sur la même période)".
La majorité réagit immédiatement aux propos de René-Paul Victoria, "une baisse de 1% pourrait être intéressante pour redonner du pouvoir d'achat aux Dionysiens, mais vous même vous avez augmenté sous votre mandature les impôts de plus de 10%. Votre demande est purement démagogique, irresponsable", lâche le maire de Saint-Denis.
"Saint-Denis se situe parmi les communes où les taux d'imposition locale sont les plus modérés (…) pour soutenir le budget des familles, ne l'empêche pas d'investir davantage en faveur de tous les Dionysiens, surtout les plus modestes, et de conduire des projets structurants dans le cadre du développement durable", conclut Gilbert Annette.
Produit fiscal de 59,2 millions d'euros
Une des promesses de l'équipe municipale actuelle, "s'engager à ne pas pénaliser le pouvoir d'achat des Dionysiens, depuis 2008 nous maintenons les taux d'imposition au même niveau où nous les avons trouvé, une décision prise qui n'est pas sans conséquence (ndlr : pour les finances de la ville)", rappelle Gilbert Annette.
Avec les mêmes taux : 17,73% pour la taxe d'habitation, 22,65% pour la taxe foncière sur les propriétés bâties et 12,40% pour la taxe foncière sur les propriétés non bâties, la prévision de produit fiscal attendu pour le budget de la ville de Saint-Denis est estimé à 59,2 millions d'euros.
"Vous pourriez baisser les impôts"
Après l'annonce du maintient des taux d'impositions, l'opposition a pris la parole pour demander, par la voix de René-Paul Victoria, une "baisse de ces taux de l'ordre de 1 à 2%", une demande qui s'explique selon le député "par une augmentation constante du produit fiscal (ndlr : de 47 à 59 millions entre 2007 et 2011) et malgré le gel des dotations par l'Etat, des recettes de fonctionnement en augmentation (ndlr : de 34 à 37 millions sur la même période)".
La majorité réagit immédiatement aux propos de René-Paul Victoria, "une baisse de 1% pourrait être intéressante pour redonner du pouvoir d'achat aux Dionysiens, mais vous même vous avez augmenté sous votre mandature les impôts de plus de 10%. Votre demande est purement démagogique, irresponsable", lâche le maire de Saint-Denis.
"Saint-Denis se situe parmi les communes où les taux d'imposition locale sont les plus modérés (…) pour soutenir le budget des familles, ne l'empêche pas d'investir davantage en faveur de tous les Dionysiens, surtout les plus modestes, et de conduire des projets structurants dans le cadre du développement durable", conclut Gilbert Annette.