
Le jeet kun do, le krav maga, le sambo, le silat escrima, le kali eskrima... que d'arts martiaux adaptés aux femmes. Elles étaient près de 300 ce dimanche au gymnase de Champ Fleuri à Saint-Denis pour apprendre à se défendre.
Cette journée, la deuxième édition de "Stop Agression" a permis à de nombreuses femmes de découvrir gratuitement quelques techniques de self-défense. "Seulement 10% des femmes ont connu des problèmes de violence, le reste savent que c'est une bonne idée de savoir se défendre, explique Frédéric Guichard, organisateur. Nous avons fait plusieurs enquêtes de satisfaction et il y a un réel besoin à La Réunion. Nous ne préférons aucun art martial, nous sommes seulement là pour le bien-être des femmes à travers plusieurs arts".
Des professeurs diplômés ont ainsi animé cinq ateliers, pour les jeunes comme les plus âgées. "Nous avons reçu deux dames de 70 et 72 ans. Si la condition physique le permet, elles peuvent se défendre", affirme Frédéric Guichard.
Cette journée, la deuxième édition de "Stop Agression" a permis à de nombreuses femmes de découvrir gratuitement quelques techniques de self-défense. "Seulement 10% des femmes ont connu des problèmes de violence, le reste savent que c'est une bonne idée de savoir se défendre, explique Frédéric Guichard, organisateur. Nous avons fait plusieurs enquêtes de satisfaction et il y a un réel besoin à La Réunion. Nous ne préférons aucun art martial, nous sommes seulement là pour le bien-être des femmes à travers plusieurs arts".
Des professeurs diplômés ont ainsi animé cinq ateliers, pour les jeunes comme les plus âgées. "Nous avons reçu deux dames de 70 et 72 ans. Si la condition physique le permet, elles peuvent se défendre", affirme Frédéric Guichard.

250 diplômes ont été distribués, et les organisateurs espèrent pouvoir proposer une journée tous les six mois. "Nous avons quelques partenaires cette année, mais il nous manque encore des moyens. Nous avons besoin de matériel et ce serait bien de pouvoir fournir un petit déjeuner le matin", termine-t-il.
Avec un nombre croissant de Réunionnaises intéressées, Frédéric Guichard espère pouvoir leur fournir autant de stages que possible.
Avec un nombre croissant de Réunionnaises intéressées, Frédéric Guichard espère pouvoir leur fournir autant de stages que possible.
