Jeudi après-midi, un jeune lycéen se plaignant de forts maux de ventre a été pris en charge par les pompiers. Rapidement, l’enquête des gendarmes de Saint-Benoît permet d’établir que deux autres adolescents avaient ressenti les mêmes symptômes après avoir déjeuné dans le même snack.
Vendredi matin, accompagnée d’un agent de la DAAF (direction alimentation, agriculture et forêts), une patrouille de gendarmerie a procédé à une vérification de l’établissement incriminé. De graves manquements à l’hygiène, à la formation et à la conservation des aliments y ont été relevés. Un arrêté préfectoral de fermeture a été notifié au restaurateur.