Un Saint-Andréen de 35 ans devait comparaître ce mercredi après-midi pour des faits d'exhibitionnisme et de violence avec arme, en l'occurence un bâton.
Bien connu des services de police de Saint-André pour aimer se balader dénudé et s'exhiber, il n'a pu se présenter devant le tribunal car le malheureux est hospitalisé à l' EPSMR de Saint-Benoit. Déjà renvoyé plusieurs fois, la présidente a toutefois décidé de retenir le dossier malgré son absence.
Si l'expertise psychiatrique demandée démontre qu'il souffre d'anomalies mentales et psychiques, l'expert conclut qu'il reste néanmoins accessible à une sanction pénale eu égard au fait qu'il le juge curable et réadaptable.
Alors que la procureure demande 2 mois de prison plus la révocation d'un 1 mois de sursis précédent, la défense, passablement exaspérée par les nombreux renvois ainsi que le manque d'éléments probants dans le dossier, plaide la relaxe. Il avait été en effet notifié que l'audition du Saint-Andréen était impossible pendant la garde à vue.
Tenant compte du dossier, le tribunal a finalement décidé de le relaxer.
Bien connu des services de police de Saint-André pour aimer se balader dénudé et s'exhiber, il n'a pu se présenter devant le tribunal car le malheureux est hospitalisé à l' EPSMR de Saint-Benoit. Déjà renvoyé plusieurs fois, la présidente a toutefois décidé de retenir le dossier malgré son absence.
Si l'expertise psychiatrique demandée démontre qu'il souffre d'anomalies mentales et psychiques, l'expert conclut qu'il reste néanmoins accessible à une sanction pénale eu égard au fait qu'il le juge curable et réadaptable.
Alors que la procureure demande 2 mois de prison plus la révocation d'un 1 mois de sursis précédent, la défense, passablement exaspérée par les nombreux renvois ainsi que le manque d'éléments probants dans le dossier, plaide la relaxe. Il avait été en effet notifié que l'audition du Saint-Andréen était impossible pendant la garde à vue.
Tenant compte du dossier, le tribunal a finalement décidé de le relaxer.