
Le centre d’intervention culturel de la salle Guy Alphonsine propose en marge des traditionnelles festivités du dipavali organisées par la ville de Saint-André (du 5 au 13 novembre 2010), un autre regard sur le dipavali : un "autre dibavali" dans le Dipavali.
Pour Rieul Latchoumy, responsable administratif de l’association, ce dibavali est "moins festif, moins fantasmé, moins rêvé". Il est plus proche des "expressions de l’Inde d’aujourd’hui". L’accent est par exemple mis lors des différentes actions de l’association sur la place de la femme dans la société "plutôt que sur un défilé de sari".
Pour cette quatrième édition de l’autre dibavali, le public pourra découvrir un programme qui tourne autour de la thématique de la danse. Thématique qui sera étendue à la demande de la mairie au défilé et au podium du Colosse avec la présence d’artistes indiens. Ce qui permettra de lier les deux Dipavali.
Le but pour l’association est de confronter le genre contemporain et le genre classique et de proposer "un autre regard sur l’Inde", loin des clichés fantasmés auxquels nous sommes habitués (fête, religion, etc...).
Des conférences-débats seront organisées sur la "Patrimonialisation, l’exportation et l’hybridation des danses indiennes". Le cinéma d’auteur sera mis à l’honneur plutôt que le cinéma "made in bollywood" avec la diffusion d’un film documentaire d’Adoor Gopalakrishnan et Brigitte Châtaignier, "La danse de l’enchanteresse", le 3 novembre à la salle Guy Alphonsine.
Les festivités commenceront dès le 3 novembre à la salle Guy Alphonsine, soit deux jours avant les dates prévues par la mairie de Saint-André et termineront le 13, en même temps que le Dipavali.
Pour Rieul Latchoumy, responsable administratif de l’association, ce dibavali est "moins festif, moins fantasmé, moins rêvé". Il est plus proche des "expressions de l’Inde d’aujourd’hui". L’accent est par exemple mis lors des différentes actions de l’association sur la place de la femme dans la société "plutôt que sur un défilé de sari".
Pour cette quatrième édition de l’autre dibavali, le public pourra découvrir un programme qui tourne autour de la thématique de la danse. Thématique qui sera étendue à la demande de la mairie au défilé et au podium du Colosse avec la présence d’artistes indiens. Ce qui permettra de lier les deux Dipavali.
Le but pour l’association est de confronter le genre contemporain et le genre classique et de proposer "un autre regard sur l’Inde", loin des clichés fantasmés auxquels nous sommes habitués (fête, religion, etc...).
Des conférences-débats seront organisées sur la "Patrimonialisation, l’exportation et l’hybridation des danses indiennes". Le cinéma d’auteur sera mis à l’honneur plutôt que le cinéma "made in bollywood" avec la diffusion d’un film documentaire d’Adoor Gopalakrishnan et Brigitte Châtaignier, "La danse de l’enchanteresse", le 3 novembre à la salle Guy Alphonsine.
Les festivités commenceront dès le 3 novembre à la salle Guy Alphonsine, soit deux jours avant les dates prévues par la mairie de Saint-André et termineront le 13, en même temps que le Dipavali.



