C’est la telenovela du moment : qui est à l’origine de la future caserne des pompiers de St-André ?
Depuis la pose de la première pierre, en grande pompe, l’opposition qu’incarne par procuration Eric Fruteau, ne cesse de dénoncer des postures ou des impostures de l’actuelle majorité municipale. Selon les représentants de Fruteau, le maire JPV et son groupe ne font que réaliser des projets conçus par l’ancienne majorité.
Vrai ou faux, la population de St-André attend de l’institution que son territoire se développe. Que ces élus mettent en place des structures et des services pour améliorer son quotidien. C’est dans cet objectif seulement que sont élus tous les six ans les conseillers municipaux. Lors de ce scrutin, les Saint-Andréens choisissent ceux qui doivent gérer leur argent. Et comment ceux-là mêmes doivent le gérer.
Aussi, je crois qu’il est nécessaire de rappeler à tout ce petit monde qu’ils ne sont que des gestionnaires temporaires, voire éphémères, si l’on tient compte du temps qu’Eric Fruteau a passé à la mairie. Même si Eric Fruteau a voulu que sa femme lui succède lors des municipales de 2014, l’ancien maire doit toujours se rappeler que la mairie appartient d’abord au peuple. ET que le peuple a toujours jugé sévèrement la familiocratie.
Qu’importe qui a conçu puis réalisé un projet, car le maire en place est payé pour le faire. Son employeur ou son supérieur hiérarchique, c’est le peuple.
C’est bien, que le peuple, de temps en temps, éteigne le feu de l’arrogance et de la condescendance.
JM Cotaya
Candidat aux Municipales de 2014
