
Image d'archives
Les salariés de la crèche Simangavole (faisant partie de la SPL Ti Baba, basée à Saint-Paul) reprennent la grève ce lundi. Le mouvement de contestation avait été entamé le 24 mai dernier pour protester contre l’éviction de deux salariées, avant d’être interrompu dans l’attente de la réunion du conseil d’administration qui se tenait jeudi soir.
Mais les grévistes, reprochant des ruptures de contrats "totalement incompréhensibles", n’ont pas été reçus par les membres du conseil d’administration, comme ils l’avaient exigé. Une attitude jugée méprisante. "Interpellée, la présidente s’est contentée d’annoncer sur le trottoir que le Conseil d'administration validait les deux ruptures de contrat dénoncées par les grévistes et a refusé de recevoir et d’entendre les salariés", indique l’UR974.
Les salariés poursuivent donc leur mouvement avec les mêmes revendications : être reçus par le Conseil d’administration et, surtout, la réintégration des deux salariées évincées.
Mais les grévistes, reprochant des ruptures de contrats "totalement incompréhensibles", n’ont pas été reçus par les membres du conseil d’administration, comme ils l’avaient exigé. Une attitude jugée méprisante. "Interpellée, la présidente s’est contentée d’annoncer sur le trottoir que le Conseil d'administration validait les deux ruptures de contrat dénoncées par les grévistes et a refusé de recevoir et d’entendre les salariés", indique l’UR974.
Les salariés poursuivent donc leur mouvement avec les mêmes revendications : être reçus par le Conseil d’administration et, surtout, la réintégration des deux salariées évincées.