
Alors que les négociations se poursuivent à la SIB pour arriver à une reprise ou à défaut à une cessation d'activité, Ibrahim Patel, le président de la CCI Réunion, estime "inadmissible" qu'une multinationale comme la Colgate/Palmolive puisse partir du jour au lendemain de La Réunion.
Pour rappel, le 21 novembre dernier, la direction a annoncé aux 32 salariés de la SIB, filiale du géant américain Colgate/Palmolive, la liquidation de leur entreprise.
"C'est inadmissible que des groupes viennent à la Réunion, prennent les subventions au détriment des petites entreprises locales, et veulent ensuite partir !", a-t-il lancé.
Pour le président de la Chambre de Commerce et de l'Industrie, "le gouvernement et la Région doivent avoir une clause qui coordonne les subventions accordées pour l'installation des entreprises. Cette clause doit prévoir le remboursement de ces subventions si l'entreprise venait à partir", estime Ibrahim Patel, qui appelle à la vigilance Etat et collectivités locales.
Pour rappel, le 21 novembre dernier, la direction a annoncé aux 32 salariés de la SIB, filiale du géant américain Colgate/Palmolive, la liquidation de leur entreprise.
"C'est inadmissible que des groupes viennent à la Réunion, prennent les subventions au détriment des petites entreprises locales, et veulent ensuite partir !", a-t-il lancé.
Pour le président de la Chambre de Commerce et de l'Industrie, "le gouvernement et la Région doivent avoir une clause qui coordonne les subventions accordées pour l'installation des entreprises. Cette clause doit prévoir le remboursement de ces subventions si l'entreprise venait à partir", estime Ibrahim Patel, qui appelle à la vigilance Etat et collectivités locales.