
L'ambiance est à couper au couteau actuellement au SDIS, depuis la nomination de Jean-Marc Loubry au poste de Directeur départemental. On sait que le SDIS Réunion présente la particularité de compter trois lieutenants-colonels à son tableau d'effectifs, alors que les SDIS de sa catégorie ne peuvent normalement en compter que deux.
On pensait naïvement que le problème se résoudrait de lui même avec le départ du colonel Jacques Vandebeulque, après qu'il ait été contraint de quitter ses fonctions de directeur à la suite d'une décision du tribunal administratif. Fausse joie : le colonel VdB a réussi à faire entériner par le même tribunal qu'il avait été viré comme directeur, mais qu'il continuait à dépendre du SDIS Réunion... Avec bien sûr tous les avantages qui en découlent, dont la surémunération... Il n'y a pas de petits profits. Vous n'alliez quand même pas vous imaginer que c'étaient les paysages de notre ile qui avaient rendu le colonel fou de la Réunion, au point de ne plus vouloir en partir. D'autant que le même colonel est depuis le début du mois en congé maladie. Payé à ne rien faire, quoi demander de mieux ???
Autre rumeur qui avait un temps couru et qui aurait permis au SDIS Réunion de ne plus compter qu'un lieutenant colonel : le départ annoncé du colonel Félix Antenor-Abazac, l'adjoint du directeur, que l'on disait en partance prochaine pour les Antilles, sa région d'origine, pour y prendre la direction du SDIS local. Pas de chance : le colonel Antenor-Abazac a renoncé à partir et la Réunion continue à compter trois colonels pour deux postes.
Il est connu que deux coqs ne peuvent cohabiter dans la même basse-cour. Imaginez quand il y en a trois...
Le colonel Vandebeulque absent, restent les colonels Loubry et Antenor-Abazac. On aurait pu penser que les choses se seraient arrangées. Ce n'est apparemment pas le cas. A peine rentrés de vacances, les querelles sont reparties entre les deux hommes. Sauf que le colonel Loubry est entre-temps passé du statut de simple collègue à celui de patron, bien décidé à fêter ses nouveaux galons en mettant ses subordonnés au pas. Ce que ces derniers ne semblent pas apprécier, surtout côté méthode.
Pas de doute, les mésaventures du SDIS vont encore alimenter pendant longtemps les colonnes du Blog.
Au fait, mon colonel, pourrions-nous savoir pourquoi les employés du SDIS ne peuvent plus accéder depuis ce matin au site de Zinfos depuis leurs ordinateurs? C'est dans les régimes dictatoriaux que l'on essaie de contrôler l'information. Et, à défaut, où on la censure. Je n'ose croire que ce soit le cas du SDIS... A moins qu'il ne s'agisse d'une malencontreuse erreur et que vous ne fassiez, comme par miracle, rapidement rétablir la connexion...
On pensait naïvement que le problème se résoudrait de lui même avec le départ du colonel Jacques Vandebeulque, après qu'il ait été contraint de quitter ses fonctions de directeur à la suite d'une décision du tribunal administratif. Fausse joie : le colonel VdB a réussi à faire entériner par le même tribunal qu'il avait été viré comme directeur, mais qu'il continuait à dépendre du SDIS Réunion... Avec bien sûr tous les avantages qui en découlent, dont la surémunération... Il n'y a pas de petits profits. Vous n'alliez quand même pas vous imaginer que c'étaient les paysages de notre ile qui avaient rendu le colonel fou de la Réunion, au point de ne plus vouloir en partir. D'autant que le même colonel est depuis le début du mois en congé maladie. Payé à ne rien faire, quoi demander de mieux ???
Autre rumeur qui avait un temps couru et qui aurait permis au SDIS Réunion de ne plus compter qu'un lieutenant colonel : le départ annoncé du colonel Félix Antenor-Abazac, l'adjoint du directeur, que l'on disait en partance prochaine pour les Antilles, sa région d'origine, pour y prendre la direction du SDIS local. Pas de chance : le colonel Antenor-Abazac a renoncé à partir et la Réunion continue à compter trois colonels pour deux postes.
Il est connu que deux coqs ne peuvent cohabiter dans la même basse-cour. Imaginez quand il y en a trois...
Le colonel Vandebeulque absent, restent les colonels Loubry et Antenor-Abazac. On aurait pu penser que les choses se seraient arrangées. Ce n'est apparemment pas le cas. A peine rentrés de vacances, les querelles sont reparties entre les deux hommes. Sauf que le colonel Loubry est entre-temps passé du statut de simple collègue à celui de patron, bien décidé à fêter ses nouveaux galons en mettant ses subordonnés au pas. Ce que ces derniers ne semblent pas apprécier, surtout côté méthode.
Pas de doute, les mésaventures du SDIS vont encore alimenter pendant longtemps les colonnes du Blog.
Au fait, mon colonel, pourrions-nous savoir pourquoi les employés du SDIS ne peuvent plus accéder depuis ce matin au site de Zinfos depuis leurs ordinateurs? C'est dans les régimes dictatoriaux que l'on essaie de contrôler l'information. Et, à défaut, où on la censure. Je n'ose croire que ce soit le cas du SDIS... A moins qu'il ne s'agisse d'une malencontreuse erreur et que vous ne fassiez, comme par miracle, rapidement rétablir la connexion...