En grève depuis ce matin, les pompiers et personnels administratifs du SDIS réclament à la direction le paiement des heures supplémentaires effectuées lors de l'incendie du Maïdo. Arrivée à 8 heures ce matin, devant la direction du SDIS à Saint-Denis, l'intersyndicale SNSPP-Sud Pompiers et CFDT a attendu cet après-midi pour être reçue et ouvrir la table des négociations.
Pendant ce temps, les pompiers présents devant le centre, bloqués la route à l'aide de poubelles empêchant toute circulation rue Monthyon. Des négociations qui ont duré plus de 3 heures pour finalement ne rien donner. L'intersyndicale est ressortie "déçue" de cette réunion avec la direction du Sdis. Les syndicats n'ayant pas obtenu ce qu'ils désiraient, à savoir le paiement des heures supplémentaires de l'incendie du Maïdo.
"Nous avons tenté de négocier pendant deux heures, mais on nous a appris que le décompte des heures n'avait pas été effectué (…). La direction nous a demandé d'attendre une semaine de plus. Nous sommes extrêmement déçus par cette décision d'autant que le directeur maintient son intention de payer les heures sur un texte non applicable à la Réunion, alors que nous demandons l'application des heures supplémentaires", explique Claudine Moriscot porte-parole de l'intersyndicale SNSPP-Sud Pompiers et CFDT
En attendant une hypothétique entrevue avec Nassimah Dindar, présidente du Département, réclamée depuis le début par l'intersyndicale, les pompiers se sont donnés rendez-vous demain, mardi. La grève ne fait que commencer au SDIS.
Pendant ce temps, les pompiers présents devant le centre, bloqués la route à l'aide de poubelles empêchant toute circulation rue Monthyon. Des négociations qui ont duré plus de 3 heures pour finalement ne rien donner. L'intersyndicale est ressortie "déçue" de cette réunion avec la direction du Sdis. Les syndicats n'ayant pas obtenu ce qu'ils désiraient, à savoir le paiement des heures supplémentaires de l'incendie du Maïdo.
"Nous avons tenté de négocier pendant deux heures, mais on nous a appris que le décompte des heures n'avait pas été effectué (…). La direction nous a demandé d'attendre une semaine de plus. Nous sommes extrêmement déçus par cette décision d'autant que le directeur maintient son intention de payer les heures sur un texte non applicable à la Réunion, alors que nous demandons l'application des heures supplémentaires", explique Claudine Moriscot porte-parole de l'intersyndicale SNSPP-Sud Pompiers et CFDT
En attendant une hypothétique entrevue avec Nassimah Dindar, présidente du Département, réclamée depuis le début par l'intersyndicale, les pompiers se sont donnés rendez-vous demain, mardi. La grève ne fait que commencer au SDIS.