
À l'issue de notre dernière réunion avec la Présidente du SDIS, il avait été convenu ensemble (élus, intersyndicale) de ne pas communiquer sur le fond du dossier tant que nous n'aurions pas l'avis du tribunal administratif sur le plan juridique.
Malheureusement, les déclarations dans la presse du JIR, dès le surlendemain, de Madame Nassimah Dindar nous poussent à apporter les rectifications nécessaires.
- La question des primes illégalement indexées n'a pas été découverte il y a 5 mois. C'est en juillet 2012 soit il y a près d'un an que l'ex directeur à signalé cette situation.
- Notre contestation a commencé au moment ou on nous a annoncé les faits, mais aussi la décision déjà prise sans concertation soit le 15 avril. C'est autant le fond du dossier que la manière dont nous avons été traités par la direction que nous contestons.
- Le cumul Volontariat-Professionnel est effectivement anormal. Nous avons toujours été contre le double statut, afin de ne pas mettre en péril les volontaires, et nous l'avons exprimé lors du Comité Technique correspondant. Ce cumul résulte de la volonté de la direction de l’époque.
Le volontariat doit être le moyen de mettre en place dans les communes une culture de sécurité civile tout en apportant une certaine vocation sociale
- Les formateurs décriés par la Présidente du SDIS s’exercent en dehors du temps de travail. La rémunération de celles ci se fait conformément aux textes. L'arrêt de ces formations par les réunionnais devra être compensées à partir de la métropole avec le surcoût évident (billet d’avion, hébergement, location de voiture..). Voilà ou on veut faire des économies !
- Nous rappelons que les grilles de salaires des pompiers sont fixées par les textes. Il y a même une cohérence entre les différents métiers de la fonction publique en fonction du niveau hiérarchique et du niveau d’étude.
À titre d'exemple, la grille de salaire d'un professeur (Madame DINDAR doit connaître ) est la même que celle d'un lieutenant colonel de pompier !!!
- Nous souhaitons, bien sur, revenir à la légalité, mais aussi ne pas être lésé. Nous sommes d'ailleurs d'accord avec le conseiller juridique de Madame Dindar.
En conclusion, nous comprenons que Madame Nassimah DINDAR a d'autres préoccupations que le SDIS. Tout ce qui arrive vient du fait que ce dossier a été mal géré et mal conduit par la direction. Les informations qui sont apportées à la Présidente sont tronquées, déformées, sorties de leur contexte et liées à des stratégies individuelles. Nous avons un trio composé de l'ancien directeur qui règle ses comptes, du directeur adjoint qui navigue à vue en fonction de ses intérêts et d'un secrétaire général, contractuel, issu du privé, viré du cabinet de la Présidente, ne connaissant rien à la fonction publique, émargeant à plus de 6000 euros/mois ( Eh oui) et qui cherche d'abord à assurer sa position .
Madame Nassimah Dindar est servie avec cette équipe et nous ne pouvons que lui conseiller de poursuivre dans cette voie si elle souhaite que le conflit perdure
L’intersyndicale
Malheureusement, les déclarations dans la presse du JIR, dès le surlendemain, de Madame Nassimah Dindar nous poussent à apporter les rectifications nécessaires.
- La question des primes illégalement indexées n'a pas été découverte il y a 5 mois. C'est en juillet 2012 soit il y a près d'un an que l'ex directeur à signalé cette situation.
- Notre contestation a commencé au moment ou on nous a annoncé les faits, mais aussi la décision déjà prise sans concertation soit le 15 avril. C'est autant le fond du dossier que la manière dont nous avons été traités par la direction que nous contestons.
- Le cumul Volontariat-Professionnel est effectivement anormal. Nous avons toujours été contre le double statut, afin de ne pas mettre en péril les volontaires, et nous l'avons exprimé lors du Comité Technique correspondant. Ce cumul résulte de la volonté de la direction de l’époque.
Le volontariat doit être le moyen de mettre en place dans les communes une culture de sécurité civile tout en apportant une certaine vocation sociale
- Les formateurs décriés par la Présidente du SDIS s’exercent en dehors du temps de travail. La rémunération de celles ci se fait conformément aux textes. L'arrêt de ces formations par les réunionnais devra être compensées à partir de la métropole avec le surcoût évident (billet d’avion, hébergement, location de voiture..). Voilà ou on veut faire des économies !
- Nous rappelons que les grilles de salaires des pompiers sont fixées par les textes. Il y a même une cohérence entre les différents métiers de la fonction publique en fonction du niveau hiérarchique et du niveau d’étude.
À titre d'exemple, la grille de salaire d'un professeur (Madame DINDAR doit connaître ) est la même que celle d'un lieutenant colonel de pompier !!!
- Nous souhaitons, bien sur, revenir à la légalité, mais aussi ne pas être lésé. Nous sommes d'ailleurs d'accord avec le conseiller juridique de Madame Dindar.
En conclusion, nous comprenons que Madame Nassimah DINDAR a d'autres préoccupations que le SDIS. Tout ce qui arrive vient du fait que ce dossier a été mal géré et mal conduit par la direction. Les informations qui sont apportées à la Présidente sont tronquées, déformées, sorties de leur contexte et liées à des stratégies individuelles. Nous avons un trio composé de l'ancien directeur qui règle ses comptes, du directeur adjoint qui navigue à vue en fonction de ses intérêts et d'un secrétaire général, contractuel, issu du privé, viré du cabinet de la Présidente, ne connaissant rien à la fonction publique, émargeant à plus de 6000 euros/mois ( Eh oui) et qui cherche d'abord à assurer sa position .
Madame Nassimah Dindar est servie avec cette équipe et nous ne pouvons que lui conseiller de poursuivre dans cette voie si elle souhaite que le conflit perdure
L’intersyndicale