Il n’aura vécu que quelques jours de tendresse dans un foyer accueillant. Le petit Rouky, royal bourbon paralysé comme nous vous le racontions le 14 avril, s’en est allé brutalement ce dimanche 23 avril d’une hernie diaphragmatique.
Les signes timides de rétablissement d’une activité moteur des pattes arrières laissaient pourtant présager de bonnes nouvelles mais c’était sans compter les blessures infligées par son ancien propriétaire.
Au moment du diagnostic mi-avril, la clinique vétérinaire l’ayant pris en charge avait prévenu qu’une évolution, positive comme négative, pourrait intervenir sous quinze jours. C’est malheureusement le deuxième scénario qui s’est dessiné.
"Sa mort a été un choc pour toute l'équipe. Rouky avait une fracture d’une vertèbre lombaire qui pinçait sa moelle épinière due aux coups qu’il avait reçus. Il était paralysé, sous traitement corticoïdes, en rééducation chez sa formidable famille d’accueil. Les deux derniers jours, il avait commencé à remarcher et c'était miraculeux. On était tellement heureux de le voir debout faire des câlins à sa FA. Malgré tout, il rampait jusqu'à elle tellement il avait peur de se faire frapper. Et quand il sentait les caresses, il se lâchait et se couchait de joie…", raconte Cécile Squarzoni, présidente de l’Association pour l'Education à la Bienveillance Animale (APEBA).
L’autopsie réalisée a permis de mettre un nom sur ce qui avait emporté soudainement le royal bourbon : une hernie diaphragmatique. "Une complication de plus qui lui a été fatale. Aucun signe avait permis de la déceler. Il allait bien."
"Rouky a eu la chance de connaître l’amour, les caresses, les bisous, quelques jours..... seulement. C’était un chien qui aimait la vie, qui voulait se battre, qui était tellement doux et reconnaissant", souligne l’association APEBA dans un post attristé.
Ces larmes viennent renforcer la détermination de l’association à mener un autre combat, sur le plan judiciaire cette fois. "Une plainte a été déposée pour lui rendre justice et l’affaire sera suivie de près. On a le nom et la description de son bourreau. On ne peut pas laisser passer…", promet l’association qui a eu la bonne idée de proposer un formulaire de signalement de maltraitance sur son site internet.
Les signes timides de rétablissement d’une activité moteur des pattes arrières laissaient pourtant présager de bonnes nouvelles mais c’était sans compter les blessures infligées par son ancien propriétaire.
Au moment du diagnostic mi-avril, la clinique vétérinaire l’ayant pris en charge avait prévenu qu’une évolution, positive comme négative, pourrait intervenir sous quinze jours. C’est malheureusement le deuxième scénario qui s’est dessiné.
"Sa mort a été un choc pour toute l'équipe. Rouky avait une fracture d’une vertèbre lombaire qui pinçait sa moelle épinière due aux coups qu’il avait reçus. Il était paralysé, sous traitement corticoïdes, en rééducation chez sa formidable famille d’accueil. Les deux derniers jours, il avait commencé à remarcher et c'était miraculeux. On était tellement heureux de le voir debout faire des câlins à sa FA. Malgré tout, il rampait jusqu'à elle tellement il avait peur de se faire frapper. Et quand il sentait les caresses, il se lâchait et se couchait de joie…", raconte Cécile Squarzoni, présidente de l’Association pour l'Education à la Bienveillance Animale (APEBA).
L’autopsie réalisée a permis de mettre un nom sur ce qui avait emporté soudainement le royal bourbon : une hernie diaphragmatique. "Une complication de plus qui lui a été fatale. Aucun signe avait permis de la déceler. Il allait bien."
"Rouky a eu la chance de connaître l’amour, les caresses, les bisous, quelques jours..... seulement. C’était un chien qui aimait la vie, qui voulait se battre, qui était tellement doux et reconnaissant", souligne l’association APEBA dans un post attristé.
Ces larmes viennent renforcer la détermination de l’association à mener un autre combat, sur le plan judiciaire cette fois. "Une plainte a été déposée pour lui rendre justice et l’affaire sera suivie de près. On a le nom et la description de son bourreau. On ne peut pas laisser passer…", promet l’association qui a eu la bonne idée de proposer un formulaire de signalement de maltraitance sur son site internet.