Faits-divers
Les journaux reviennent sur une étonnante bagarre sur fond de perroquet perdu à Sainte-Suzanne. Un homme a perdu son perroquet jeudi dernier qui s’est envolé pour se nicher sur un arbre. Après avoir tenté de le récupérer en vain, il revient le lendemain pour essayer à nouveau. Un homme passant se moque de lui, provoquant une bagarre. Les deux hommes vont respectivement chercher des armes blanches qu’ils n’utiliseront heureusement pas. Les gendarmes ont mis fin à la brouille et les deux hommes s’expliqueront devant le tribunal en décembre prochain.
La presse locale revient sur la macabre découverte à Saint-Benoît. Un randonneur est tombé sur des ossements dans les hauts de la rivière des Marsouins. Selon les premières constatations, la personne serait morte de froid, de soif ou de faim et le décès remonterait à un an maximum. Des analyses doivent toutefois confirmer ce scénario. Les enquêteurs vont recouper cette découverte avec le fichier des randonneurs disparus.
Le JIR annonce la battue d’aujourd’hui organisée par la famille de Kévin Rivière, jour de son 29e anniversaire. Le jeune homme a disparu dans les hauts de Saint-Paul il y a 4 mois. Une situation dramatique pour la famille qui a besoin de comprendre ce qui s’est passé. Les membres de cette famille sont décidés à ne rien lâcher pour connaître la vérité.
Société
Les journaux locaux reviennent sur la marche de solidarité avec l’Inde organisée par l’école de danse et de musique indienne Pajaniappen de Saint-Pierre. Les membres ont réalisé cette marche symbolique pour soutenir le sous-continent, durement frappé par le variant du Covid. L’objectif a été de conjurer le mauvais sort, mais également d’alerter la population de l’île sur le drame qui touche le pays.
La presse locale revient sur la pollution atmosphérique provoquée par le volcan. Du dioxyde de soufre et des particules fines ont été repérés dans les communes proches du Piton de la Fournaise. C’est à Saint-Joseph que les taux les plus forts ont été relevés. La préfecture appelle a évité les sorties et les efforts, voir à quitter la zone si possible.
Le Quotidien revient sur l’initiative de plusieurs éleveurs qui développent leurs propres « tueries », le terme consacré, qui sont de petits abattoirs à l’intérieur des exploitations agricoles. De plus en plus d’éleveurs veulent avoir recours à ce dispositif afin de maximiser le rendement de leurs productions.